1. Mélanges...


    Datte: 24/01/2020, Catégories: fh, inconnu, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... tout savoir, c’est bien la première fois que je me retrouve dans une telle situation.
    — Moi aussi.
    — Alors ne nous déchirons pas. Puis-je connaître votre prénom, puisque nous allons passer à quelque chose de plus intime encore ?
    — Frédéric.
    — Pas mal, mais si je peux me permettre, cela ne fait pas trop masculin à mon goût. Quant à moi, c’est Adeline, comme un rock tendre, mais bien frappé des années soixante. Oui, je l’avoue et je l’assume parfaitement, je suis une affreuse gourmande.
    
    D’ailleurs, à bien l’observer, tout en elle évoque la gourmandise et un attrait réel pour ce genre de moment, même s’il la croit lorsqu’elle lui avoue que, tout comme lui, cette aventure est inédite. Tout à coup, il réalise que quelque chose se déchire en lui et se révèle à son esprit, endormi jusque-là par tant de suavité. Il vient de revêtir le costume des personnages de la presse érotique spécialisée dont les récits très chauds, parfois surréalistes et inaccessibles, ont nourri ses fantasmes d’homme sage et fidèle, peut-être un peu « coincé et normé », n’offrant jamais aucun signe d’ouverture à l’autre. Pourquoi un tel bouleversement aujourd’hui ?
    
    Mais le voilà qui divague à nouveau au lieu de poursuivre cet échange corporel prometteur. Et puis, cette caresse qu’elle vient d’évoquer d’une voix si onctueuse, comme si elle le mangeait déjà, il l’adore. Certes, son épouse hésite souvent à l’exécuter, se contentant, toujours à sa demande, de baisers légers et de petits coups de ...
    ... langue, trop rares à son goût.
    
    Oubliant ses réflexions, il s’approche d’elle lentement, aussi lentement que le peu de distance qui les sépare l’autorise. Il ne veut pas donner l’impression de se jeter sur elle, de la contraindre à accomplir cet acte. Mais Adeline bouge elle aussi, littéralement attirée par la tige de Frédéric. Leurs deux corps se frôlent, peau à peau, mais ne sont pas encore plaqués. Il perçoit à peine, juste au-dessous de sa poitrine, le contact avec les pointes des mamelons de la jeune femme qui sont aussi restées biens dures telles deux petites pierres qui pourraient, sait-on jamais, le transpercer.
    
    Elle leur imprime un léger mouvement circulaire, écartant les poils noirs et soyeux et s’enfouissant au cœur la fine toison qui recouvre les pectoraux de Frédéric. Pointes masculines et féminines se découvrent, se bousculent, se piquent et se frottent de plus en plus rapidement. Cette caresse, découverte récemment, lui fait pousser un gémissement de satisfaction. Il se détend enfin, laissant son propre corps décider de la suite.
    
    Elle abandonne pourtant cette poitrine accueillante et puissante se gonflant au rythme un peu plus rapide de la respiration de Frédéric. Elle descend, lentement, très lentement, méthodiquement, ne voulant épargner cet attouchement à aucune partie du corps qui se tend vers elle. Vient le tour d’un ventre ferme, traversé par un pan de tissu soyeux, de venir exercer une pression contre son sexe. Au début, il s’agit d’un très long ...
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