1. Mélanges...


    Datte: 24/01/2020, Catégories: fh, inconnu, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... souhaite accompagner. Elle laisse donc la verge entamer entre ses lèvres mouillées un mouvement de va-et-vient contenu, renforçant seulement sa pression de temps en temps, patiente, sûre de sa victoire. Voilà, celle-ci finit par arriver. Elle devine à la crispation des fesses de Frédéric, à sa façon de se tendre et de s’arc-bouter en prenant appui sur ses jambes que tout va venir, la lave va jaillir. Oh ! Mais pas dans sa bouche surtout, elle préfère tout voir pour peut-être enfin comprendre ce qui l’attire tant dans ce morceau de chair.
    
    Adeline s’écarte, le visage rayonnant, les yeux écarquillés, lui suppliant de ne plus tarder. C’est alors une explosion brutale en trois ou quatre saccades agressives qui lui projettent la semence Frédéric, presque transparente, en partie sur le menton, le cou et la poitrine. Qu’elle est brûlante ! ! ! Quelle quantité ! ! ! Elle n’en attendait pas tant. Quel merveilleux produit de beauté ! De sa main droite, elle transforme le liquide qui glisse entre ses seins en une crème dont elle se masse longuement les mamelons. Du sperme perle encore au bout de la tige, mais il ne va pas lui échapper. Avant qu’une goutte égarée ne tombe sur le sol, elle l’avale puis essuie la chair, maintenant moins rigide, avec ses lèvres en un dernier hommage à ce spectacle qu’elle souhaiterait voir se renouveler encore et encore.
    
    — Je n’aime pas trop goûter à ce breuvage particulier, dit-elle, mais là c’était tellement tentant que je me suis permis de la ...
    ... prendre. Il n’y aura vraiment rien d’autre ?
    
    Frédéric se sent mieux, presque soulagé d’avoir répondu aux attentes d’Adeline ; pourtant au fond de lui-même, il éprouve de la honte, celle d’un homme qui a capitulé, sans rien entreprendre de concret pour lutter, sous les assauts experts d’une femme inconnue.
    
    — Je suis mauvais, vraiment mauvais, se lamente-t-il, dépité. Vous avez à peine touché mon sexe que déjà je crache tout mon liquide, que j’épuise toute ma sève. Quel piètre séducteur je fais ?
    — Détrompez-vous. Ne soyez pas déçu. Pourquoi tant d’amertume dans votre voix ? Vous me vexez. C’est un moment extraordinaire, quelque chose qui me bouleverse et me comble à la fois. Il y très longtemps que je n’ai pas connu de telles sensations et puis, convenez-en, vous ne pouviez pas résister. Avec nos essayages, nos premières caresses, nous ne pouvions être qu’excités au plus haut point. Je le suis tout autant que vous.
    
    Elle le supplie du regard. En effet, Adeline sent son propre corps parcouru par une incroyable effervescence, un liquide de feu qui coule avec violence dans ses veines, cogne au bout de ses seins, s’engouffre à gros bouillons au cœur de son ventre. Elle s’affole, elle aussi, pantelante, dans l’attente de ce qui va calmer cette sensation soudain insupportable.
    
    — Voulez-vous goûter à mon sexe demande-t-elle suppliante.
    
    Son visage tendu vers Frédéric, exigeant presque de lui de faire au plus vite, qu’il fasse au plus vite !
    
    — Je ne veux pas abuser de vous ...