1. Mélanges...


    Datte: 24/01/2020, Catégories: fh, inconnu, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... naturel. Elle se décale légèrement pour s’inscrire bien au milieu du corps masculin.
    
    Un premier sein arrive à hauteur de la verge toujours aussi ferme, mais moins affolée. Il lui imprime aussi doucement que possible toute une série de petits mouvements verticaux et horizontaux, de massages circulaires très restreints. Et le téton, gorgé de désir, s’attarde à souhait sur ce bâton qui tressaille à chaque fois que la pression se fait plus insistante. Puis, tout cesse subitement, Frédéric comprend à ce vide inattendu que le corps de la jeune femme s’éloigne. Que se passe-t-il ? Il n’a pas le temps de recouvrer ses esprits et encore moins de calmer la plus petite parcelle de son corps devenu un buisson ardent.
    
    C’est à nouveau le contact des deux lèvres d’Adeline qui le font sursauter et vaciller de la tête aux pieds. Une langue curieuse, large et chaude cherche à s’insinuer au creux de son nombril. Que vient-elle y chercher ? Cet endroit n’appartient qu’à lui, aucune femme n’est venue jusqu’à maintenant le forcer dans ce repli intime. Se transformant en une pointe humide, elle tente de s’enfoncer le plus loin possible, mais peine perdue, il n’y a ici aucune issue à ouvrir, cet espace bien que diablement tentant est définitivement fermé.
    
    Elle se focalise alors sur la veine velue qui conduit droit au sexe. Au départ, il ne sent rien, si ce n’est un souffle chaud qu’elle diffuse jusqu’à l’élastique de son string. Celui-ci est devenu un obstacle réel, une gêne indiscutable. ...
    ... Alors, presque rageuse, elle s’empresse de le faire glisser jusqu’au sol. Naturellement, Frédéric écarte et fléchit légèrement les cuisses. Sa bite est totalement libérée et elle se dresse ravie d’avoir retrouvé l’air libre, seul à même de la satisfaire. Son dard, c’est ainsi que Frédéric le ressent et le voit à cet instant, s’affiche sans pudeur et au mieux de sa forme, totalement déployé, au regard de la jeune femme qui l’examine dans le moindre détail. Frédéric le trouve on ne peut plus tendu, prêt de se rendre, mais peut-être pas sans avoir livré bataille.
    
    Adeline en a parfaitement conscience, elle se contente tout d’abord de souffler dessus, comme l’on fait sur une boisson trop chaude, aucun effet, il ne vacille pas. Elle lui donne alors de petits coups de langue très brefs de façon à le faire aller dans tous les sens, tapant à droite, puis à gauche au centre enfin, aussi vite qu’elle le peut, qu’il ne profite d’aucun répit. Mais, il tremble à peine ce roc, paraissant même se renforcer. Faible dans un premier temps, sa langue frappe de plus en plus fort, cependant les résultats de cette débauche d’énergie la déçoivent, leurs effets demeurent bien trop limités à son goût.
    
    N’y tenant plus, affamée par ce membre droit et fier, c’est sa langue totalement déployée qui entame une longue caresse qui commence par les testicules couverts d’un duvet parfois long avec lequel elle joue. Elle mâchonne ces poils qui lui envahissent la bouche et la chatouillent. Telle une petite ...
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