Le Phare (2) - Histoires de Sexe

Le Phare (2)

... collent, se caressent, s’emmêlent. L’excitation monte, et Marie ressent celle de Louis contre son ventre. Elle s’écarte, et malgré le froid, enlève lentement son gilet, puis retire ses collants de laine ainsi que sa culotte tout en gardant son regard fixé dans les yeux de Louis. Elle se redresse, écarte les bretelles de sa robe de ses épaules, et enfin la laisse glissée lentement vers le sol, se dévoilant ainsi complètement nue. Louis la regarde. Il observe ses fines épaules, puis il voit l’opulente poitrine de Marie. De seins de la taille d’un gros potimarron, en forme de poire. Il regarde aussi ses mamelons bruns et durs entourés d’une fine aréole de la même teinte. Plus bas, il voit des poils noirs qui lui cachent le sexe féminin qu’il n’a encore jamais vu. Après s’être laissée observer, Marie rejoint le lit et se glisse sous les couvertures. Elle regarde Louis intensément, et celui-ci comprend qu’il doit maintenant l’imiter. Il retire donc son nouveau gilet, offert par sa sœur, ainsi que son pantalon. Il ôte ensuite son dernier haut, dévoilant son torse et ses abdominaux. Enfin il fait tomber son caleçon déformé par l’excitation. Marie voit le sexe bandé de Louis et le voit maintenant dans d’autres proportions. La verge qui pointe vers le ciel mesure une grosse vingtaine de centimètres de long pour plus de cinq centimètres de large. Ce sexe palpite, et on voit déjà son gland rouge mi-décalotté par l’excitation. En dessous, elle voit aussi les bourses de Louis. Deux ...

... grosses boules, qu’elle peut tout juste attraper ensemble dans sa main.

Après ce beau spectacle, Marie fait signe à Louis de venir la rejoindre en soulevant les draps laissant une nouvelle fois apparaître ses seins aux yeux de Louis. Celui-ci la rejoint, et l’enlace. Leurs langues se retrouvent reprenant leur danse. Leurs corps se collent et leurs mains caressent l’autre. Louis palpe les seins de Marie, qui elle caresse son torse. Puis tout en mêlant toujours leurs langues et leurs salives, leurs mains descendent vers les fesses et les sexes. Marie caresse les bourses et la hampe de Louis, qui lui caresse ses poils pubiens et ses grandes lèvres charnues. Le sexe de Marie est déjà humide, et on entend les lèvres se décoller et se recoller. Puis les deux amants, après plusieurs minutes de caresses et d’étreintes intenses, s’écartent l’un de l’autre et se regardent.

— Jean m’a parlé de quelque chose.

— De quoi ?

— Il m’a dit qu’avant de le faire, il aimait bien quand la fille lui embrassait le sexe, et le mettait dans sa bouche en faisant des va-et-vient. Mais que ça plaisait pas forcément à toutes les filles.

— Ah oui ? Tu veux qu’on essaye ?

— Oui. Et il m’a aussi dit que la fille aimait beaucoup quand on lui embrassait et léchait le sexe aussi.

— Tu veux qu’on essaye ça aussi avant ?

— Oui !

Marie se glisse alors sous les draps, et saisit le sexe de Louis. Elle pose ses lèvres dessus et commence à embrasser le gland et la verge sur toute la longueur. ...