1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 24/01/2020, Catégories: f, fh, fff, 2couples, essayage, parking, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... chez un homme.
    — Ah bon, tu me ferais ça demanda l’intéressé ?
    — Je ne sais pas, je crois que je n’en aurai pas le courage.
    
    La fausse mine piteuse d’Aline ne trompa personne, et le rire qui manqua l’étouffer juste après cette déclaration fut communicatif. Aucun des quatre n’avait pris cet échange au sérieux. Il faut dire aussi qu’ils n’envisageaient pas de se tromper les uns les autres. Donc le débat n’avait pas lieu d’être.
    
    Les toasts disparaissaient les uns après les autres. Ils quittèrent le canapé pour passer à table et la conversation se poursuivit sur le sujet.
    
    — Je vais me méfier lorsqu’Aline me parlera de courses avec Mireille, maintenant. D’autant que je n’ai rien vu de ce qu’elles ont acheté.
    — Tiens c’est vrai, moi non plus, renchérit Pierre.
    — Crois tu qu’elles ne nous racontent pas des histoires ?
    — Je me le demande moi aussi.
    — Et bien, messieurs, il vous faudra attendre pour savoir. Nous ne dirons rien. Vous en savez déjà beaucoup trop.
    
    Aline regardait les deux hommes en riant. La réponse de Mireille ne les surpris pas beaucoup, ils essayèrent bien d’en savoir plus mais se heurtèrent à une conspiration du silence.
    
    Le repas fut animé et gai. Les taquineries et provocations se succédèrent et les rendirent tous les quatre très complices. Au moment du dessert, Mireille proposa de faire une petite séance de bronzette intégrale. Chacun reconnu que c’était une excellente idée. Ils la mettraient en pratique après le café.
    
    Pendant qu’elles ...
    ... rangeaient la cuisine, les hommes débarrassèrent la table et installèrent le coin pour bronzer.
    
    — Il faut que je passe à la salle de bain me changer, dit Aline à son amie.
    — Te changer ? On bronze nu ici tu le sais bien.
    — Je sais, mais j’ai un locataire en ce moment. Il faut que je le surveille de près. Je n’aime pas les débordements.
    — Ah, toi aussi, tu es dans ta semaine rouge ? Ça fait déjà quatre jours que ça dure pour moi et je commence à en avoir ras le bol. Enfin d’ici deux jours j’aurai la paix. Viens on va y aller ensemble.
    — Et ça recommence toutes les quatre semaines ! Heureusement que ça tourne rond, je peux prévoir ! Je plains celles pour qui c’est tous les vingt et un jours, et irrégulier en plus.
    — Comme tu dis. Il vaut mieux être riche et en bonne santé que pauvre et malade !
    
    Tant qu’à faire elles se déshabillèrent, se rafraîchirent, et après avoir pris les précautions d’usage revinrent nues comme au premier jour, se tenant par la taille. Pierre connaissait déjà le tableau et ne fut pas surpris par l’arrivée des deux amies. Nicolas fut saisi par le contraste des deux beautés.
    
    — Elles sont belles nos femmes, n’est-ce pas ?
    — Magnifiques, moi qui n’en connaissait qu’une sur les deux, je m’estimais privilégié. Mais Mireille soutient très bien la comparaison.
    — Regarde-moi ces deux benêts, dit Mireille à l’oreille de son amie. On dirait qu’ils n’ont jamais vu deux nanas à poil.
    — Dont une sans, lui répondit de la même manière Aline.
    — C’est peut-être ...
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