1. On se détend comme on peut...


    Datte: 24/01/2020, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, Humour Auteur: Patrick R. D., Source: Revebebe

    ... Garde-le pour l’instant. Et mets ça.
    — Qu’est-ce que c’est ? C’est nouveau ? demande François, perplexe devant la bande de cuir cloutée.
    
    C’est surtout la chaîne en métal chromé qui y est accrochée qui l’interpelle. Et surtout, il a pris l’habitude de se méfier des nouveaux accessoires qu’elle rapporte à la maison.
    
    — C’est pour toi, pour être sûre que tu m’obéisses.
    
    François comprend enfin et se passe le collier autour du cou. Sa femme tient l’autre bout de la chaîne et en teste la solidité en tirant un coup sec.
    
    — Aïe ! Mais… hé… attention, me fais pas de marque.
    — T’en fais pas, et au pire tu remettras du fond de teint comme l’autre fois.
    
    Elle tire à nouveau sur la laisse, mais plus doucement et, quand François est assez près, elle tire la laisse vers le bas, l’obligeant à s’agenouiller.
    
    — Viens me lécher, mon petit toutou. Et je m’occuperai peut-être de ton nonosse ensuite si tu es gentil.
    
    François ne se fait pas prier et avance la langue vers le sexe de sa femme. Elle est trempée. Il sait ce qu’elle aime et, rapidement, en la voyant se cambrer, il comprend qu’elle apprécie ses caresses. Mais il voit bien qu’elle est encore tendue. Elle l’est toujours. Ces petites séances de jeux l’aident à se détendre un peu.
    
    Au bout de quelques minutes de ce traitement, sous les assauts de la langue de François, son corps de femme se détend enfin et elle se laisse aller à pousser des gémissements de plus en plus explicites. Elle sent venir doucement un premier ...
    ... orgasme et, tenant toujours fermement la laisse, elle tient la tête de son amant pour qu’il n’arrête surtout pas sa caresse buccale.
    
    C’est juste après son premier « Oh ! oui… » signe du début de sa jouissance que sonne un téléphone caché dans la poche du pantalon jeté au sol.
    
    — N’arrête pas !
    — Mais c’est sûrement Laurent, il devait appeler.
    — Ce petit avorton ? Raison de plus pour pas répondre !
    — Mais… heu…
    — Et voilà, rien qu’à dire son prénom, tout est retombé ! C’est malin !
    
    Elle le repousse d’un coup sec et il se retrouve les fesses sur le parquet. Elle se saisit alors du martinet en cuir posé sur le lit.
    
    — Oh non, ma chérie, pas encore ça !
    — Si ! Tu le mérites !
    — Allez, s’il te plaît, je dirai du bien de tes idées à la télé ! Promis !
    — Vraiment ? Il faudrait déjà que tu y passes, à la télé !
    — Ben… euh… j’y passe aussi souvent que toi !
    
    Elle explose de rire, ce qui au moins lui ôte l’envie d’utiliser le fouet à lanières. N’étant pas sûr de la raison de son fou-rire, François préfère ne pas bouger et se taire. Il faut bien une bonne minute à son amante pour se remettre.
    
    — Puisque tu m’as fait rire, tu n’auras pas droit au fouet.
    — Ah ! Merci, ma reine.
    — Voilà, c’est mieux. Lève-toi !
    
    Alors qu’il se relève, elle s’accroupit devant lui et lui baisse son pantalon d’un coup sec. Il n’est pas encore bien dur, mais à peine commence-t-elle à l’emboucher qu’elle sent le pénis gonfler sous sa langue. Elle s’active sur son sexe en faisant de ...