1. On se détend comme on peut...


    Datte: 24/01/2020, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, Humour Auteur: Patrick R. D., Source: Revebebe

    Avertissement : Ce texte est une fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait le fruit du hasard. Si, si ! Il s’agit d’une fantaisie totalement inventée. N’y cherchez surtout pas le moindre message politique. Je me suis juste amusé à imaginer ce que pourrait cacher l’intimité de certaines personnes qui nous gouvernent.
    
    — François !
    
    François sursaute. Il était plongé dans ses mails mais, au ton de sa voix, il sait qu’il doit venir immédiatement. Sinon, il va encore avoir mal. En plus, vu le contenu des dits mails, il est presque heureux de l’appel de sa compagne. Parfois, quand il voit avec qui il travaille, il regretterait presque d’être leur chef, obligé de devoir arbitrer leurs querelles incessantes.
    
    — Oui, ma reine. J’arrive !
    
    Il presse le pas dans le grand appartement parisien où ils vivent la plupart du temps. C’est tellement plus agréable que le fin fond de la Corrèze ou, pire encore, que le marais poitevin et ses moustiques. Il presse le pas et l’entend l’appeler une deuxième fois.
    
    — Alors ? Tu viens !!!
    
    Il arrive enfin à l’entrée de la chambre. Et il la voit debout devant le lit, dans sa tenue de cuir noir préférée. Enfin… par tenue, il faut comprendre un bustier soutenant simplement les seins sans les cacher et des porte-jarretelles en cuir noir et rien d’autre. Cela met en valeur sa toison triangulaire noire taillée ras. Cette tenue, il l’aime de moins en moins. Ces derniers temps, elle a été de plus en plus dominatrice avec ...
    ... lui, au point qu’il a eu mal aux fesses pendant trois jours après la dernière séance. Jamais les sièges de l’Assemblée ne lui avaient paru si durs. Mais il la comprend. En ce moment, ce n’est pas facile pour elle. Alors, s’il peut l’aider un peu en acceptant de participer à ses petits jeux, il se dit que c’est bien la moindre des choses qu’il accepte les quelques éventuels désagréments.
    
    — Déshabille-toi !
    
    Le ton est ferme et autoritaire. Beaucoup d’autres que lui le connaissent, c’est presque le même que lorsqu’elle répond à ses adversaires lors des séances du conseil régional.
    
    — Mais… heu… j’ai du travail encore. J’ai encore des tonnes de mails à lire.
    — Je t’ai déjà dit d’arrêter de répondre à ces larves. Tu perds ton temps.
    — Tu auras bien besoin d’eux quand même.
    — Me fais pas rire !
    
    Sur ce, elle claque son fouet. François sent le souffle près de son visage.
    
    — Déshabille-toi maintenant, et vite !
    — Oui.
    
    Le fouet claque, cette fois encore plus près.
    
    — Oui qui !?!
    — Oui, ma reine, dit-il en s’inclinant.
    — C’est mieux. Allez, fais vite, j’ai envie. Et j’ai pas beaucoup de temps. J’ai aussi du travail, et moi c’est sérieux !
    
    François se déshabille aussi vite qu’il le peut, ignorant la remarque. Lors de ces séances, il vaut mieux ne pas lui répondre, surtout quant elle tient le fouet. Heureusement, il avait déjà quitté sa veste et sa cravate. Son déshabillage est donc très rapide. Au moment de baisser son caleçon, sa compagne l’interrompt.
    
    — ...
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