1. Le chant des cigales


    Datte: 26/03/2018, Catégories: fh, 2couples, bain, campagne, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, échange, occasion, entrecoup, nature, Auteur: Elizabeth, Source: Revebebe

    ... les deux au pied d’un arbre, ils nous ont oubliés, pour très vite s’abandonner à leur plaisir.
    
    Nous les avons regardés de loin se caresser et s’aimer en toute simplicité ; ils étaient seuls au monde et nous aussi.
    
    Ils étaient tendres et beaux et j’ai embrassé Anna en la serrant contre moi.
    
    Mes pinceaux m’appellent pour mettre un peu plus de couleur dans mon tableau érotique, le tout au son de la guitare.
    
    Le soleil se couche derrière les grands arbres et une douce fraîcheur remplit notre soirée. Nos deux promeneurs sont enfin venus nous rejoindre, boire une limonade fraîche et bavarder avec nous. Nous leur expliquons qu’il est imprudent de repartir vers leur camping en ne connaissant pas le chemin et vu l’heure tardive. Ils acceptent de dîner et de passer la nuit avec nous.
    
    Les cigales chantent encore autour de nous, Anna est venue s’installer sur mes genoux, me caresse la queue en m’embrassant. Je quitte sa bouche pour poser la mienne sur ses seins durs et pointus.
    
    Nos deux amis nous regardent gênés, mais finissent par nous imiter et s’installent dans l’herbe encore chaude. Il lui enlève le chemisier blanc et lèche ses petits seins en forme de poire, elle est toujours un peu réticente, mais lorsqu’il déboutonne son bermuda et l’invite à le sucer, elle oublie soudain sa timidité et y va de bon cœur et son ami lui a déjà enfoui une main entre les fesses.
    
    ooOoo
    
    J’aurais très envie de sucer cette queue inconnue, mais je n’ose faire cette proposition à Juan ...
    ... et nous restons tous les deux dans notre balancelle. Juan me demande de lui faire la même chose et sans attendre ma réponse, sa verge dressée envahit ma bouche : je n’ai pas envie de bouger et c’est lui qui va-et-vient en moi ; il sent que la jouissance est proche et se retire. Nous voilà nous aussi dans l’herbe et entre mes cuisses grandes ouvertes mon homme est à genoux, mes jambes reposent sur ses épaules et il me pilonne à en perdre haleine. Quelques râles de nos amis se mêlent aux nôtres.
    
    Nous nous redressons pour nous apercevoir que les deux autres sont encore en pleine besogne : à présent elle est accroupie devant son amant, lui offre son joli petit cul rose qu’il malmène sans pitié. Son membre est plutôt gros et pourtant il s’enfonce presque entièrement ; elle gémit à chaque à coup, y prend visiblement du plaisir et tous les deux jouissent rapidement.
    
    Il se retire et s’étale de tout son long, me lance un coup d’œil qui ressemble fort à une invitation. Juan a compris la même chose et nous nous approchons d’eux.
    
    Je m’allonge près de cet homme qui me surprend par sa carrure d’athlète et je me penche sur son sexe encore bandé : il m’attrape par les cheveux en me disant carrément : « vas-y sers-toi, j’en ai gardé un peu pour toi aussi… » Je me délecte de l’odeur de cette pine toute nouvelle pour moi. Il aime et va exploser encore une fois, subitement il se retire d’entre mes lèvres et se répand entre mes seins…
    
    Maintenant la nuit nous a surpris, les cigales se ...