Le chant des cigales
Datte: 26/03/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
bain,
campagne,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
échange,
occasion,
entrecoup,
nature,
Auteur: Elizabeth, Source: Revebebe
Je vous emmène dans l’arrière-pays provençal, un champ de lavande et une petite maison loin de tout. Deux artistes, Juan peintre et Anna musicienne, sont venus s’y cacher pour travailler et surtout pour s’aimer ; ils vivent nus, cultivent un petit jardin et ne connaissent que le plaisir. Rarement, ils décident de s’habiller, de prendre leur vieille caisse qui affiche 180000 km pour partir en ville récupérer leur courrier en attente et quelques produits du commerce… Voilà pour le tableau.
Ce matin nous venons de nous réveiller encore enlacés et imbriqués comme hier soir. Juan a toujours sa main posée sur mes seins et sa verge réveillée un peu avant lui est venue se caler entre mes cuisses. Je ne bouge pas, c’est si bon.
Après un petit moment de passivité toute douce, un léger va-et-vient m’annonce que mon homme est réveillé lui aussi. Je pousse mes fesses tout contre lui et sa queue est déjà en moi, il m’embrasse dans le cou et je sens mon ventre inondé d’amour.
Je me tourne vers lui, je lui souris et me lève pour préparer un café chaud. Lorsque je remonte avec mon plateau, il est sous la douche, je ne résiste pas à l’envie de le rejoindre, il aime cet instant de grande intimité, nous nous savonnons copieusement, nos mains en profitent pour caresser l’autre partout, le jet d’eau tiède nous caresse aussi et je jouis juste quand il effleure mon clitoris gonflé. Un autre de ses doigts savonneux est venu s’enfoncer dans mon anus… ma jouissance n’en finit plus.
Je ...
... reprends mon souffle pour lui rappeler que nos cafés refroidissent, il rigole comme chaque fois et ce petit déjeuner après l’amour est le grand moment de notre journée. À cette heure la chaleur est encore agréable, le ciel d’un bleu limpide et la terre déjà tiède.
Juan sort son chevalet et ses pinceaux, moi ma guitare et nous voilà en accord avec la nature qui nous entoure.
Il me demande de poser pour lui, cela arrive de temps à autre qu’il ait envie de m’intégrer dans ses œuvres :
— Anna, pose ta guitare contre toi, écarte tes jambes et glisse une de tes mains dans ton sexe. Aujourd’hui je sens que mon tableau sera érotique… chaud comme le soleil qui vient sur nous. Ne bouge plus… je t’aime ainsi…
Je reste un long moment et quand il a suffisamment avancé dans son esquisse, il vient vers moi, me délivre de ma position par un long baiser torride, ôte ma main d’entre mes cuisses et vient y mettre la sienne ; il me trouve trempée et devine combien j’ai envie de lui.
Son sexe vient d’abord se faire exciter par ma langue, puis avec son pinceau qu’il tient toujours, il me dessine un long serpent vert depuis mes seins jusqu’à mon pubis sans poils.
Je me laisse glisser dans l’herbe et il me suit, sa verge est toujours dans ma gorge et le manche de son pinceau tente de s’introduire dans mon ventre, je le laisse faire, il entre et sort, encore et encore puis soudain se retire pour s’enfoncer entre mes fesses…
Un petit cri de douleur déchire le silence de cette matinée ...