Invitation
Datte: 26/03/2018,
Catégories:
fhh,
couple,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
double,
fsodo,
conte,
Humour
couple+h,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... resonge à toute la soirée, je me dis que ça n’a pas été triste, et qu’en plus, ce n’est pas fini ! Violaine s’est assurément déchaînée, je ne sais pas exactement pourquoi ; il faudra que je réfléchisse bien au pourquoi du comment. À moins, qu’il n’y ait pas de raison, tout simplement. Un caprice de sa part…
Je me fais violence, je me vide l’esprit, puis je reviens dans le salon. Ils sont tous les deux assis en train de papoter tranquillement. Je jette un rapide coup d’œil à ma femme : elle est trop sexy, habillée ainsi. Si Fabrice n’était pas dans la pièce, je crois bien que je me serais déjà jeté dessus avec délectation !
Mais hélas, ce ne peut être le cas actuellement.
Fantasmer sur le champ que…Elle, ma chienne à quatre pattes, offerte, ouverte, remplie, hurlant son plaisir, vautrée dans la débauche la plus totale, pénétrée au plus profond de partout, sans répit, inlassablement, couverte de sperme, remplie de sperme, qui dégouline sur tout son corps si doux, si voluptueux, maculant son ventre rond, ses fesses dodues, ses jambes fines, ses seins lourds, sa bouche insatiable…Elle, ma femme… cette… qui……
C’est en sueur que je termine la soirée. Il est tard à présent, Violaine cligne un peu des yeux, signe qu’elle fatigue un peu. Un dernier verre, un dernier bisou un peu appuyé entre Fabrice et Violaine, puis nous sortons.
— Toujours aussi froid !
— Oui ! Cette année, le thermomètre est tombé bien bas, et dire qu’on nous cause de réchauffement climatique ! ...
... Tu parles ! Les étés sont de plus en plus pourris et les hivers de plus en plus rudes !
— Tu n’as pas faux…
Je reconduis Fabrice chez lui. Il est étrangement calme, lui si volubile. Les kilomètres défilent, je ne dis rien non plus, je suis aussi assez fourbu, lessivé. À mi-parcours, c’est lui qui brise le silence en annonçant :
— Je comprends mieux à présent pourquoi avec Violaine vous vous êtes repliés sur vous-mêmes, profitant égoïstement l’un de l’autre, comme tu me l’as si bien dit tout à l’heure…
— Ah bon ?
— Oui, tu es bien tombé avec Violaine. J’ai sans doute visé trop haut et j’ai perdu un temps fou… Oui, un temps fou. Oui, une femme comme la tienne, j’aurais dû ouvrir les yeux plus tôt !
Je suis surpris de cette profession de foi et intimement content de moi, de ma chance. Sans quitter la route des yeux, je réponds :
— C’est rare de t’entendre dire ça !
— Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis !
Quand je le dépose devant chez lui, je vois bien qu’il est tout songeur. Une dernière poignée de main, il s’engouffre dans le hall de son immeuble. Il disparaît de ma vue. C’est à mon tour d’être songeur. Puis je me décide à repartir.
Quand je rentre, je me rue dans ma maison, et là, sans préambule aucun, je me jette sur ma femme et je la viole littéralement. Je vous passe les détails mais sachez quand même qu’elle se laisse faire en gloussant, ravie de son petit effet de durant la soirée…
--ooOoo--
Quelques jours sont passés, deux ...