Travaux pratiques
Datte: 22/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
couleurs,
couple,
cadeau,
cocus,
vacances,
anniversai,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
yeuxbandés,
confession,
couple+h,
cocucont,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... étendard, prêts à baiser les bourgeoises en rut.
Yanis la possède avec une force incroyable. Il la secoue au point qu’elle a du mal à tenir sur ses jambes. Elle gémit, puis doucement parle, se parle, comme si elle rêvait.
— C’est bon. Il est gros. Tu sens comme il va loin, si loin ? Je mouille. C’est possible de jouir par le cul ? Encore, encore. Tu sens ses couilles ? Il me perce, perce… perce…
Ses paroles obscènes ne me choquent pas ; au contraire, j’aime. Elle aime.
— Ouiiiiiiiii…
Ce cri va réveiller les voisins. Merde, j’ai laissé la fenêtre ouverte ! Mais qui est encore éveillé à cette heure ? Personne. Va, crie ma chérie. Crie ta jouissance, ton plaisir, ton orgasme, ton plaisir de te faire prendre par le cul, par ce sexe que ton mari t’a trouvé.
Frissons révélateurs de la jouissance, du sperme qui doit jaillir à tout prix. Yanis annonce l’éjaculation. Avez-vous remarqué que ce mot semble fait pour ce moment ? Car c’est là, dans le fondement, dans le cul dilaté, ouvert, consentant, qu’il va… Non qu’il crache sa purée, sa gourme.
Les deux amants semblent tétanisés. Ils ont joui au même moment, suprême instant, que tout le monde cherche quelquefois pendant une vie entière.
Maude revient parmi nous un long moment après que Yanis s’est retiré, abandonnant sa crème en elle. Ses yeux reviennent vers nous, comme après une longue nuit ou un rêve éveillé.
La situation a changé. Nous avons changé de place. Je suis derrière elle, son amant à ses côtés. ...
... Elle ne comprend que lorsque je pousse ma queue dans son fondement. C’est si facile. La voie est ouverte, dilatée par le mandrin noir, lubrifiée par le sperme et la jouissance de ma femme. Si un instant j’ai peur de faire « petit » devant mon prédécesseur, je suis rassuré par la joie affichée par mon épouse. Comme si son orgasme ne lui avait pas suffi.
Pendant tout le temps où je l’ai possédée, elle m’a regardé dans le miroir. Échange parfait de nos sensations, de nos montées de plaisir, de nos fantasmes. Oui, je suis plus court. Oui, je suis plus fin. Mais la taille ne suffit pas. Moi, le mari, je l’encule et notre imagination fait le reste. Nous imaginons ma queue glisser, raide, turgescente, presque douloureuse de l’attente, dans son cul, gras, lubrifié par le jus de son amant. Moi aussi je la besogne. Moi aussi je la retiens par les mains, crispées sur ses hanches. Elle, de son côté, parle, gémit. Que c’est bon de l’entendre…
— Oui, viens mon Chéri… Baise ta femme… Encule-la… Elle aime… ton sexe… Ouiiiiiiii…
Connaissez-vous plus bel hommage ? Que nenni ! En tout cas, c’est le meilleur moyen pour me faire jouir. Moi aussi je balance la purée. La goutte qui fait déborder le vase. Celle qui déclenche un tsunami, qui submerge.
La vie est belle !
—ooOoo—
Après. Longtemps après. En réalité, je n’ai aucune idée du temps. Nous sommes allongés sur le lit, côte à côte. Noir, blanc, blanc. C’est un moment où l’on regrette de ne pas être noir, juste pour l’harmonie, ...