Passionnée
Datte: 22/01/2020,
Catégories:
ffh,
couplus,
copains,
vengeance,
noculotte,
Humour
couple,
Auteur: Samuel, Source: Revebebe
... que la copine, tout en discutant d’un point réellement discutable, remonta sa jupe sans y prêter attention apparemment. Mais la vision de ses fesses nues me fit chavirer. D’abord, je me demandai si elle portait un string ou rien du tout. Puis je pensai qu’Élise lui avait donné la consigne pour me faire plaisir, ce qui semblait indiquer qu‘elles avaient une complicité qui dépassait les limites d‘un court de tennis. Bref, je ne savais plus où donner de la tête. Je risquais une scène si je m’occupais de Sophie qui peut-être s‘était simplement mise à l‘aise sans penser à l‘émotion qu‘elle suscitait chez un spectateur peu spécialiste en balles jaunes.
Je commençai donc par entreprendre Élise comme d’habitude. J’introduisis habilement une pine toute ébouriffée dans la douceur de son vagin. Puis, la tentation étant trop forte, je voulus vérifier à côté l’absence de toute culotte et, comme je ne rencontrai aucune réticence, je pénétrai sa partenaire pour qu’elle devienne la mienne. Mais alors, il y a un tel sang froid, un tel flegme chez ces joueuses de haut niveau que je n’obtins rien de plus qu’avec ma partenaire habituelle. À peine un léger changement de position : les fesses s’étaient élevées de quelques centimètres pour montrer son adhésion au projet.
Pourtant la nouveauté faisait que j’y allais de bon cœur. Mais je crois que même une double pénétration n’aurait pas eu le même effet qu’une double faute. J’allais de l’une à l’autre, me risquant même à quelques sodomies ...
... furtives et je n’entendais en retour que 15-40, 30-15, égalité ! J’avais l’impression que se faire baiser en suivant un match de tennis était du même acabit que d’écouter la radio en prenant son bain. À un moment, Sophie murmura quelque chose à l’oreille de ma copine. Je croyais qu’elle appréciait ma « French touch », mais quand j’entendis la réponse :
— Attends, je vais le mettre sur la touche.
J’en fus moins convaincu. En fait, Élise me fit venir à côté d’elle à la tête du lit et elle entreprit de me masturber sans perdre une miette du match, vous pensez bien. Elle pensait que cela n’allait pas durer, mais je me retenais comme je pouvais. Sophie voulut participer également à la branlette pour ne pas trop fatiguer le bras de sa partenaire de double. En tâtonnant et sans jeter ne serait-ce qu’un coup d’œil à mes attributs, elle s’empara de ma hampe et la fit coulisser machinalement.
Élise, avec la même désinvolture et le même désintérêt, reprit ensuite les choses en main et dans la bouche. Et puis, je dus céder. Un magnifique service – un ace ! – la mit en transe et ses lèvres enserrèrent avec plus de volupté encore mon gland. Comme je sais qu’elle n’aime pas trop avaler, je détournai mon engin et c’est l’écran qui fut barbouillé de sperme. Difficile à nettoyer : images déformées, match interrompu, humeur massacrante, expulsion immédiate de la chambre, séparation provisoire…
On se réconcilia, mais je continuais à l’avoir mauvaise, comme on dit. J’avais un ami, Tony, ...