1. Passionnée


    Datte: 22/01/2020, Catégories: ffh, couplus, copains, vengeance, noculotte, Humour couple, Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    Passionnée, elle était passionnée. C’est vrai qu’elle jouait bien au tennis, Élise. Un bon classement et une réelle ambition. Mais bon, à la maison, elle aurait pu oublier la raquette de temps en temps. Eh bien non, il fallait qu’elle suive les retransmissions des matches « pour améliorer encore mon jeu », disait-elle. Elle était toujours allongée sur le lit face à l’écran et j’avais juste l’image de ses longues jambes qui de loin, semblaient le prolongement des lignes du court. Un jour que la partie s’éternisait, je laissais voir mon irritation. Elle me dit pour couper court à toute fâcherie :
    
    — Mais tu peux me baiser ; ça ne me dérange pas.
    
    Et, tout en ne perdant pas une miette des échanges de coups droits rageurs, elle fit glisser sa culotte sur le couvre-lit. Je me positionnai derrière elle et je la caressai, en espérant que, progressivement, elle se détournerait du tennis pour le pénis. Mais, rien à faire. Elle avait juste soulevé le bassin pour me faciliter les choses. Pourtant, je l’avais broutée avec raffinement, j’avais joué avec son bouton, j’avais lubrifié les abords, j’avais pénétré subtilement son antre. Elle réagissait davantage à une superbe amortie qu’à mon énergie voluptueuse. Parfois, au changement de côté, elle jouait de sa croupe pour raviver mon érection, mais c’était tout. À un moment, j’ai cru entendre un ahanement sensuel, mais ce n’était qu’un joueur au service. Parfois quand deux joueuses à l’allure de bûcheronnes se jetaient sur les balles de ...
    ... toute leur énergie, les cris qu’elles poussaient me donnaient la sensation de baiser en stéréo. Mais ce n’était qu’un leurre, une illusion. Bref, nous avons fait l’amour sans qu’elle ne m’accorde un instant, un sourire, un regard.
    
    Pour se faire pardonner cette passion frénétique, elle jouait parfois avec moi – médiocre tennisman – sans mettre de culotte. Nous étions seuls dans la salle, j’envoyais la balle en hauteur et, à chaque smash, je ne cherchais pas à rattraper la balle puissante qu’elle m’envoyait, mais à voir sa toison bien noire que sa jupe blanche ne cachait plus. Une fois, un intrus assista à la fin d’un set avec de grands yeux. Il rentra chez lui bien décidé à faire des progrès. La partie, souvent abrégée par mes maladresses, se terminait par une bonne douche à deux dans les vestiaires. Et là, enfin, je la lavais et l’avais toute à moi.
    
    Un jour, elle invita Sophie, sa partenaire de double, à suivre un match de Coupe Davis à la maison. Et je les trouvai toutes les deux sur le lit, me gratifiant à peine d’un bonjour. Évidemment, la situation était à la fois énervante et excitante. Quatre longues jambes quasiment parallèles, comme autant de rails vers le plaisir. Je caressai celles de ma joueuse, tendrement, sans aucune réaction de sa part évidemment. Au bout d’un moment, je me payai le culot de lui retirer sa culotte. Pas la moindre protestation. Je n’osai quand même pas aller plus loin qu’une caresse intime que je prodiguai d’une main douce.
    
    C’est alors ...
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