Campus 2
Datte: 26/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster
... secret et je lui en étais reconnaissant. Nous faisions l’amour toujours aussi souvent, c’est à dire deux ou trois fois par jour, mais avec plus de tendresse, plus d’attention encore au désir de l’autre. Il y avait un jeu étrange entre nous.
Ainsi, le lundi matin, je la voyais se vêtir d’une culotte blanche tout ce qu’il y a de neutre, alors que le reste de la semaine elle se mettait maintenant toujours en string, tant elle savait que cela me plaisait. J’étais comme complice de sa relation trouble avec le professeur, et j’en tirais presque un sentiment absurde de supériorité, notamment lorsque je le voyais dans l’amphi, parce que je savais quelque chose de très intime sur lui… et parce qu’il désirait violemment la fille que j’avais le plaisir de posséder tous les jours. Cet équilibre particulier résultait de la confiance totale que j’avais en Gaëlle, qui s’était confiée dès qu’elle l’avait pu, sur un sujet qui était difficile à avouer… Il était convenu entre nous que si elle ne me disait rien de sa relation avec le prof, c’est qu’il n’y avait rien à en dire de plus… J’avais une totale confiance en elle.
Cet équilibre pourtant un jour allait être remis en cause. Un lundi en fin d’après-midi, ma délicieuse chérie comme à son habitude, se réfugia dans la salle de bain pour prendre une douche. Elle m’avait ...
... déjà expliqué qu’après avoir été regardée torse nu, elle avait besoin de se laver, comme pour se débarrasser du poids de son regard. C’est par hasard que j’aperçus dans le reflet d’une glace qui donnait sur l’entrebâillement de la porte, Gaëlle, ou plutôt le cul nu de Gaëlle au moment où elle ôtait sa jupe ! Je savais pertinemment qu’elle avait une culotte ce matin, et qu’elle rentrait directement à cette heure-ci, de son cours « particulier » !
Je ne dis rien pendant une semaine, espérant qu’elle aurait le courage de m’expliquer ce qui s’était passé par elle-même mais elle ne me dit rien. Le lundi suivant au retour de son « travail », je me précipitai sur elle comme je le faisais souvent, et je me mis à caresser ses globes fessiers par-dessus le tissu. Elle cherchait d’évidence à se dérober, mais j’avais bientôt les mains glissées sous sa jupe au contact de sa peau nue !
Je m’écartais légèrement pour observer son visage et je la vis pour la troisième fois rougir, mais cette fois d’une façon bien plus franche. Elle se dégagea et courut dans la salle de bain pour s’enfermer à double tour. Ce n’est qu’après un long moment que je tentai d’engager une conversation à travers la porte. J’étais bien décidé, même si cela devait être douloureux, à connaître tous les détails de ce qu’était devenue leur relation !