1. Campus 2


    Datte: 26/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Inceste / Tabou Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster

    ... inaccessible, ce qu’elle avait été pendant de longs mois.
    
    — La première fois que je suis allée le voir le lundi…
    
    Car c’est ce jour-là qu’elle avait sa séance particulière à propos de son mémoire, dans une petite salle à l’étage, à côté des salles de classe.
    
    — … il ne s’est rien passé… Et puis la fois suivante, il a commencé à me complimenter, non plus sur mon travail, sur lequel il n’avait pas perdu tout sens critique, mais sur mon physique. Il flattait ce qu’il appelait la finesse exquise de ma taille, l’aspect léger et gracieux de ma silhouette". Il me demandait juste avant que je parte, de me placer debout face à lui et il me contemplait ainsi quelques instant avant de me remercier…
    
    « J’étais vraiment gênée et j’ai envisagé au début, de choisir un autre directeur de recherche. Il me demandait de rester pareille à moi-même de ne pas sacrifier à ma beauté. Il voulait que je vienne en jupe parce qu’il trouvait que cela m’allait à ravir. C’est à ce moment que je me suis rendu compte que je me prenais au jeu. Si certains jours, je mettais un pantalon, le lundi je venais toujours en jupe.
    
    Il s’ensuivit un long silence, et puis je lui demandai de continuer.
    
    — Je pensais toujours à lui, lorsque je m’habillais le lundi matin. Il m’apportait une attention flatteuse, alors qu’avec Sébastien, le garçon avec lequel tu m’as vue, il n’y avait que du sexe. J’appréciais l’attention qu’il me portait sans rien me demander, cet amour platonique qui n’existait que par le ...
    ... regard. Lorsqu’il m’observait ainsi debout, il me demandait de le regarder dans les yeux, ce que je faisais sans déplaisir. Cette relation où le contact n’avait pas sa place, prenait de plus en plus d’ampleur. Je savais que s’il avait voulu, j’étais prête à céder à d’autres désirs à condition qu’ils ne satisfassent que son regard… mais il ne me demandait rien, et c’était bien.
    
    Par le coup d’œil qu’elle me lança, je savais que pendant cette nouvelle pause elle essayait de lire dans mes pensées, comme pour savoir jusqu’où elle pouvait aller dans ses révélations. Elle reboutonna son corsage comme pour compenser l’impudeur de ses propos.
    
    — Je le voyais pour le travail et puis je lui offrais juste la possibilité de me dévisager du regard… Je prenais soin, par contre, et tu remarqueras que c’est toujours le cas, de ne pas porter de string ce jour-là. Qu’il n’interprète pas ma tenue, en me regardant sortir de la pièce et en observant le dessin de mes fesses, car tu sais que j’aime porter des jupes un peu étroites… qu’il ne voie pas dans ma tenue comme un appel à aller plus loin.
    
    — Est-ce que tu as déjà eu envie d’aller plus loin ?
    
    — C’est déjà fait !
    
    Il y eut cette fois un long silence. Gaëlle jusque-là déterminée à me parler d’un air franc, semblait vouloir se dérober. Je ne pouvais pas masquer mon inquiétude.
    
    — Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
    
    — C’était un peu avant ma rupture avec Sébastien. Un jour il m’a demandé de lui en montrer plus et j’ai accepté. Avec ...
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