1. Campus 2


    Datte: 26/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Inceste / Tabou Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster

    ... saveur, alors que ma langue s’insinuait dans les méandres du délicat appendice. Je fourrai son conduit de la pointe de la langue. Mes caresses insistantes ne restèrent pas sans effet.
    
    — C’est bon… ! Continue, tu me chatouilles… N’arrête pas…
    
    Elle se mit à respirer plus fortement et plaqua son autre oreille contre mon visage.
    
    — Tète-moi, mon gros bébé ! J’aime sentir ton souffle chaud et ta langue humide dans le creux de mon oreille !
    
    Pendant ce temps, elle plaquait son corps contre le mien, et je me rendis compte qu’elle avait glissée sa main dans sa culotte et qu’elle commençait à se masturber ! C’est alors que je lui demandai de m’offrir sa bouche. Je commençai par lui sucer chacune de ses lèvres comme si je voulais la "déshabiller" du rouge dont elles étaient parées. Puis je m’appliquai à fourrer ma langue entre ses dents, et par ma détermination je parvins à lui faire comprendre que je voulais qu’elle ouvre sa bouche au maximum pour lui téter la langue. C’est comme si je faisais une pipe à son organe chaud et gluant.
    
    Elle se mit à marmonner, et à trémousser son bassin contre ma cuisse. C’est alors qu’elle frotta son sexe contre ma jambe, tout en gémissant dans ma bouche. Je fis alors un mouvement pour me dégager de ses lèvres.
    
    — J’ai envie que tu te mettes debout sur le lit au-dessus de moi ! Je veux regarder sous ta jupe.
    
    Avec une rapidité remarquable pour répondre à chacun de mes désirs, elle se redressa pour tendre ses jambes élancées de part et ...
    ... d’autre de mon visage et m’offrir le spectacle de son con à peine habillé d’un string blanc et transparent.
    
    — Enlève ta culotte !
    
    Elle fit glisser la fine étoffe, relevant l’une de ses jambes en un mouvement très sensuel pour la dégager de sa chaussure, tout en s’appuyant au mur de la tête de lit pour ne pas tomber, et c’est dans cette position, penchée au-dessus de moi qu’elle m’offrit le spectacle et la divine surprise de son abricot débarrassé de tout poil. Elle s’était rasé le minou avant mon réveil ! Ses lèvres, fines et charnues à la fois, me fascinaient par la perfection de leur dessin. J’avais soudain un désir violent de goûter la saveur de sa chair la plus secrète.
    
    — Approche ta chatte, je veux te lécher, te sucer… comme tout à l’heure au creux de ton oreille.
    
    Elle bascula en avant pour s’agenouiller. J’avais alors l’effluve puissante de sa cyprine et de sa sueur intime qui arrivait jusqu’à mes narines. Mais quelle sensation exquise que la saveur acre et salée de son con au contact de ma bouche ! En ayant bien profité la veille, je ne m’en lassais pas !
    
    Alors que je labourais toujours plus fermement sa fente du plat de ma langue, elle se mit à gémir et à balancer de la croupe, comme une cavalière en furie. La douceur satinée de sa motte rasée se frottait puissamment à mon nez dans la chevauchée débridée de ma partenaire. Entre les secousses, je parvenais à lui ordonner de se défaire de ses vêtements. De son corsage tout d’abord, ce qu’elle fit avec ...
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