1. Joyeux anniversaire Ophélie ! (1)


    Datte: 20/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Swingme, Source: Xstory

    ... t’ai souri. Rassurée, tu m’as rendu mon sourire. Tu étais prête à vivre l’expérience de ta vie. Conforme à un fantasme de plan à trois dont tu m’avais fait part lors de nos nombreuses discussions coquines. Inutile de te tourner pour regarder à quoi il ressemblait, tu as planté tes yeux dans les miens, et nous avons commencé notre balai.
    
    Mes mains sont parties de tes poignets et sont descendues lentement le long de tes bras. J’effleurais à peine ta peau. Mon comparse suivait mes mouvements sur ton autre face, avec la même légèreté. Caresses à quatre mains. Exquises. Tes nerfs à fleur de peau. Tu nous as assurés de ton plaisir, ton corps secoué de tremblements. Tu as rejeté la tête en arrière, entrouvert les lèvres, gémi doucement.
    
    Nous avons continué à explorer chaque centimètre carré de ta peau sublime, dévoilant des zones sensibles rarement explorées : tes aisselles, ta taille, l’arrière des genoux et des chevilles, la plante des pieds… Les tremblements se sont transformés en spasmes, je crois que tu as joui sous l’action combinée de nos caresses et des boules de Geisha.
    
    Je me suis mis à genou entre tes jambes, ai saisi tes fesses entre mes mains, les écartant légèrement, et ai entrepris de te manger le sexe entièrement. À pleine bouche, lèvres, langue, j’ai léché, sucé, bu, titillé, excité ce trésor merveilleux si longtemps désiré. Tu m’as entouré de ta jambe droite, reposé ta cuisse sur mon épaule, t’ouvrant encore un peu plus à mes caresses.
    
    Mon acolyte n’est ...
    ... pas resté inactif. Il s’était emparé du plumeau, et pendant mon cunni gourmand, a parcouru ton dos, tes cuisses, de son objet de torture. Les plumes passaient régulièrement aux abords de ton anus offert, palpitant, impatient. Quel délice ! Plusieurs orgasmes se sont déchaînés en toi, devant nos yeux ravis.
    
    Enfin nous nous sommes arrêtés, ma bouche s’est détachée de ton sexe, le plumeau a arrêté sa course folle. J’ai lentement, très lentement, délibérément retiré les boules de Geisha, déclenchant un petit cri de détresse et de soulagement.
    
    J’ai desserré tes doigts contractés sur la barre, tu as enfin pu te reposer quelques instants. Je t’ai tournée de 90° afin que tu puisses nous voir tous les deux, et nous avons chacun pris une de tes mains pour la poser sur notre torse. Le signal était clair. Tu as commencé à nous caresser quelques instants, à vérifier, coquine, notre émoi, et ô combien rassurée, nous a fiévreusement arraché nos vêtements. Tu nous voulais dans le même état que toi : nus, offerts, à ta disposition.
    
    Tu as pris ton temps, découvrant nos corps : les épaules, les pectoraux, les ventres, les cuisses musclées. Tu as saisi à pleines mains nos testicules, nous arrachant un râle de surprise, à ta grande satisfaction. Puis tu t’es accroupie, et as entrepris de nous sucer avec gourmandise. Tu passais de l’un à l’autre, savourant les différences de texture, dureté, taille, sentant palpiter le sang dans nos sexes tendus à l’extrême. De tes mains expertes, tu nous ...