1. Joyeux anniversaire Ophélie ! (1)


    Datte: 20/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Swingme, Source: Xstory

    ... deux intruses se déplaçaient à l’intérieur de toi, massant les parois de ton vagin, accompagnées de minuscules vibrations. Tu as réprimé un râle, as accéléré le pas, pressée de t’asseoir pour en finir. Cela a presque été pire quand tu t’es immobilisée, les boules ayant mis un temps infini à se stabiliser après ton arrêt brutal, te poussant presque jusqu’à l’orgasme. Les doigts serrés sur la table, les phalanges blanchies par la tension, la tête baissée, les yeux fermés, tu as attendu que la tempête se calme enfin dans ton ventre.
    
    Quelle matinée ! Quel supplice ! Quelle torture ! Quel bonheur… Tu t’es promis de relire l’après-midi tous les tests écrits ce matin-là, pas franchement sûre de la qualité de ta production. Les minutes t’ont paru des heures, chaque instant concentrée à l’extrême sur ces sensations délicieuses.
    
    Enfin, midi a sonné et tu t’es levée. Vite. Trop vite. Les boules se sont déchaînées dans ton ventre, tu as dû t’appuyer sur ta chaise pour supporter la décharge de vibrations. Ton vagin se contractait à un rythme fou. Tu as commencé à marcher vers la sortie, bien consciente de ta culotte inondée, de son frottement contre tes cuisses, de tes seins dressés, tout ton être en fusion.
    
    Je t’attendais en haut des marches, quelques mètres plus loin, derrière la haie. Tu m’as rejoint, le rouge aux joues, l’expression indéchiffrable. Ta fureur se mêlait à l’excitation et surtout à la concentration extrême que tu t’imposais.
    
    "Suis-moi, ce n’est pas ...
    ... loin".
    
    Ce n’était en effet pas très loin, une centaine de mètres, mais ils ont été un supplice pour toi, car je marchais vite. Nous sommes montés dans un appartement d’une de ces nouvelles résidences tout proches de notre boîte. "Un ami nous le prête pour ce midi", t’ai-je expliqué. J’avais bien fait les choses : champagne, petits fours, bougies, t’attendaient dans la pièce principale du studio. Je t’ai laissée rentrer la première, observer les lieux. Une barre de traction accrochée à la porte d’entrée de la pièce et des objets, dont un plumeau, t’ont intriguée.
    
    Je nous ai servi deux flûtes, t’en ai tendu une, nous avons trinqué, bu lentement, sans nous quitter des yeux. Le désir et l’impatience brillaient dans les tiens.
    
    J’ai savouré ce moment, puis ai posé nos flûtes sur la table et t’ai enlacée pour t’embrasser tendrement, longuement. Puis je t’ai contournée et me suis plaqué contre ton dos, mes lèvres dévorant ton cou, mes mains découvrant fiévreusement ton corps, là où elles ne s’étaient jamais autorisées à aller : tes seins, ton entrejambe… Quand j’ai serré ton sexe à travers le tissu de ta jupe, un hoquet t’a échappé. Les boules continuaient furieusement leur œuvre.
    
    Je t’ai déshabillée complètement et t’ai menée jusqu’à l’entrée de la pièce. "Saisis la barre". Tu as levé les yeux, puis les bras, et l’as empoignée. Tu devais à peine te soulever, légèrement sur la pointe des pieds. Parfait.
    
    Tu as entendu des pas dans ton dos. Tu m’as regardée, interrogatrice. Je ...