La forêt de Ternevie
Datte: 20/01/2020,
Catégories:
f,
fh,
inconnu,
grossexe,
forêt,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fantastiqu,
merveille,
nature,
Auteur: Morodar, Source: Revebebe
... sublimes de la gobeline.
— Voilà qui va rééquilibrer les forces en présence…
Le campement ogre avait un aspect négligé, caractéristique de la nonchalance de ces êtres. Adossé à la parois brute de la montagne, il était constitué de cinq paillasses couvertes d’un toit de branchages, déployées en cercle autour d’un imposant feu central, pour le moment éteint. Un demi-cercle de buissons épineux entourait vaguement le lieu, constituant une défense naturelle contre les prédateurs. Trois ouvertures assez larges pour un ogre permettaient d’entrer dans le camp.
Les cinq créatures étaient présentes. Bien qu’il eut déjà vu quelques ogres auparavant, Korim les trouvait toujours aussi laids.
Hautes de trente paumes et pesant deux fois le poids d’un humain adulte, les créatures musculeuses avaient une peau jaunâtre, mouchetée de vert et de rouge. Elles étaient totalement imberbes, avec un front fuyant, un nez inexistant et de petits yeux noirs qui leur donnaient un air stupide. Leurs bouches sans lèvres étaient remplies de dizaines de longs crocs fins comme des épines. Les mâles avaient une petite corne qui poussait sur chaque tempe. Korim pouvait évaluer l’âge de ces derniers à la longueur de leurs cornes. Ceux-ci étaient de jeunes adultes.
Les monstres venaient apparemment tout juste de se réveiller et étaient rassemblés autour de la carcasse à moitié dévorée d’un daim, déjeunant tout en discutant. Azial comprit vite que leur manque de vigilance allait joueur en leur ...
... faveur.
Caché dans des buissons épais à quelques dizaines de pas du camp adverse, le duo étudiait leurs ennemis avec attention. Le guerrier avait remarqué que le plus grand mâle portait en pendentif une sphère noire comme du charbon.
Korim était perturbé par la proximité de la chasseuse. Son odeur étrangère et envoûtante emplissait ses narines, troublant sa concentration. Elle était si proche que sa peau douce comme la soie touchait parfois la sienne, projetant des éclats de désir dans tout son corps. Il imagina combien il serait agréable de caresser cette peau, de serrer ce corps léger et mince contre le sien…
Azial appréciait cette proximité. D’aussi près, le combattant humain était encore plus imposant. Mais elle ne le trouvait nullement intimidant ou menaçant. Avoir un homme aussi puissant près d’elle était très rassurant, en fait.
— Bon, comment veux-tu procéder ? lui murmura la gobeline dans l’oreille.
Troublé par le souffle chaud de la créature sur son cou, l’humain fut un instant figé par une nouvelle vague de pensées obscènes. Puis il réussit à reprendre le contrôle de ses envies.
— Hum… heu… C’est assez simple, Azial. Tu vas faire diversion. Utilise tes dards sur les femelles. Le poison va les tuer en une trentaine de battements de cœur, environ. Les mâles vont sans doute sortir du camp pour trouver l’origine de l’attaque. Je vais en abattre un avec ma lance, les deux autres à l’épée.
L’assurance du mercenaire surprit la gobeline. Qu’il soit aussi ...