1. Pour solde de tout compte


    Datte: 19/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Emile, Source: Hds

    ... voisinage. Ils sont armés d'une cravache, de crochets, de cordes et un long bois rond qui ressemble à un manche à balai. La peur embrume alors son esprit au point que, sidérée, elle soit complètement incapable de réagir. Ils la saisissent, la soulèvent, l'accrochent par les mains en haut d'une porte, fixent ses chevilles terriblement écartées au rondin comme fixée à une croix de saint André. À tour de rôle, ils se saisissent de la cravache et commencent à fouetter son corps de face. Ils rivalisent de perversité et, très vite, ne s'intéressent plus qu'à l'intérieur de ses cuisses, ses seins et son entrejambe. Naturellement, la douleur est vive, les larmes coulent, les pleurs et les cris sont au rendez-vous. Mais rien ne les arrête. Il s'acharnent malgré les supplications. Ils la retournent, violentent ses cuisses ses fesses son dos et lui font atteindre un tel degré de douleur qu'elle murmure « pitié ! ».
    
    C'est le signal qu'ils attendaient ! Ils la détachent, la portent puis la posent délicatement à quatre pattes dans la baignoire du logement. L'un d'entre eux s'est armé d'une gigantesque poire à lavement qu'il emplit d'eau à ras bord. On écarte largement ses fesses et introduit sans précaution l'ustensile dans son cul. Quelques secondes plus tard elle sent ses intestins dilatés en diable par le liquide. Son ventre et son bas-ventre ne sont que douleur. Elle voudrait se libérer et, en même temps, imagine l'humiliation supplémentaire de voir des déjections malodorantes ...
    ... ruisseler sur son corps. Elle se retient autant qu'elle peut puis, au bout de quelques minutes, finit par se libérer bruyamment. « Quelle salope ! » dit l'un de ses bourreaux entre deux éclats de rire. Trois fois ils recommencent l'opération sans aucune pitié. Elle se laisse aller, ne se retient plus. Ils se saisissent alors de la pomme de douche et nettoient soigneusement son corps à l'eau quasi froide. Elle frissonne. Les blessures laissées par la cravache se rappellent à son souvenir et la font hoqueter de douleur. Après quelques minutes de ce traitement, la douchette est réglée en jet violent et positionnée entre ses grandes lèvres à l'entrée de son vagin. Une fois encore l'expérience et douloureuse et tous ses muscles se contractent violemment. « On va pouvoir la prendre par tous les trous ! » dit l'un ; «Elle est nickel ! » dit l'autre.
    
    À peine est-elle séchée qu'elle est maintenant transportée sur le lit. Des doigts entrent dans sa bouche, d'autres dans son sexe, d'autres encore dans son cul. Il n'est nul doute sur son sort à venir. Pendant des heures son vagin va être pénétré, son cul sodomisé, sa bouche obligée de sucer des vîts ; parfois elle est prise en double ou en triple. Mais pour la première fois elle ne va plus essayer de retenir ses sensations et nul ne pas s'obstiner à l'en priver. Son corps pourtant fatigué et torturé va aller d'orgasme en orgasme, de hurlements en hurlements, de longue série de tremblements en longues séries de tremblements. La voyant ainsi ...
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