Pour solde de tout compte
Datte: 19/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Emile, Source: Hds
... poussant de petits cris de plaisir ou de douleur. A 10, elle hurle et semble prête à défaillir. Avec sadisme il baisse le réglage puis remonte brutalement à de nombreuses reprise jusqu'à ce qu'elle finisse par s’évanouir sans l'avoir supplié d'arrêter. Puis il la laisse là plusieurs heures, grotesque, le corps tordu dans une position impossible, embrochée sur cet imposant engin électrique enfin à l'arrêt... Elle souffre évidemment mais une fois de plus ne réclame rien. Plus encore, son regard défie le tortionnaire. Il finit par la détacher...
Pendant tout un moment, il se contente chaque jour de venir la contempler en lui demandant de prendre des poses tout aussi osées les unes que les autres ou de se masturber devant lui. Lorsqu’il sent son plaisir monter, il refroidit l’atmosphère en interrompant l'action par une demande prosaïque, la laissant ainsi frustrée pendant de longues minutes avant de la quitter. A peine est-il parti qu'elle se masturbe violemment et parvient à un court et bien insatisfaisant orgasme. Le lendemain, il lui reproche amèrement de s’être laissée aller à jouir sans son autorisation et la corrige d'une fessée. Il frappe sèchement pour éviter toute ambiguïté aux coups.
Quelques jours plus tard, il se rend à son domicile armé d'un bâton de massage électrique. Comme souvent, il l'attache sur le lit en tendant les sangles jusqu'à ce que ses articulations, notamment celle du bassin, deviennent douloureuses. Son intimité est ainsi exposée distendue. ...
... Nulle protection de ses seins ni de son entre cuisses. Commence alors une longue séance de massage qui, très vite, ne s'intéresse plus qu'à la pointe de ses seins et à son clitoris. Son visage grimace ; son dos se tord brutalement ; ses fesses se soulèvent ; mais rien ne lui permet d'échapper à la torture. Comme à l'habitude, elle se tait et limite, autant que faire se peut, ses bruits de gorge. Peu à peu, son corps entier est endolori par les brusques contractions de ses muscles. Involontairement, de petites larmes perlent au coin de ses yeux. Son bourreau et au comble du plaisir : il rit, la traite de tous les noms, insiste lourdement sur leur relation financière qui la confine au rang de putain. Puis il la félicite de son ignominie, de son manque total de morale, de sa capacité à offrir toute son intimité à n'importe qui. Il suggère que pour parachever leur œuvre il va être nécessaire d'inviter les voisins à une orgie dont elle sera la vedette. Il lui promet que ce jour-là, et ce jour-là seulement, pénétrée de toute part, elle pourra enfin jouir. Et en disant tout cela, il continue sa terrible torture.
Par un beau dimanche ensoleillé, alors qu'elle se repose nonchalamment sur un canapé devant la porte fenêtre du salon, toujours totalement nue, indécente, exposée en diable, un concert de voix masculines et un bruit d'ouverture brutale d'une porte la tire de sa torpeur. En quelques fractions de seconde, son propriétaire est là face à elle en compagnie de deux hommes du ...