Mariage !
Datte: 19/01/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
fplusag,
inconnu,
campagne,
fête,
Oral
pénétratio,
init,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... eux. Mais je suis là. Et bien là. La lumière du jour me révèle leur corps que je n’avais encore jamais si bien vu, du fait de la pénombre qui a baigné nos ébats.
Je réalise tout ce que la situation a de cocasse. Il me suffit de tourner la tête pour passer de la source de la vie, un sexe de femme, au pourvoyeur de semence, un sexe d’homme. Un sexe d’homme actuellement au repos, pendant délicatement vers le matelas, entrainant les bourses, elles aussi relâchées. C’est attendrissant, cette chose molle et flasque capable de se transformer en bâton de pouvoir, sceptre masculin devant lequel, nous, femmes, nous inclinons souvent pour un plaisir réciproque.
Je découvre la verge qui m’a provoqué un orgasme hier. Je remarque, je suis si près, qu’elle est étrange, particulière, pas comme celle de mon mari. La sienne, au repos, est tout entière retranchée dans la carapace de peau qui la recouvre totalement alors que celle de Marc montre un gland totalement découvert avec la peau fine et délicate exposée. La base en est plus marquée et le renflement bien régulier. Je sais combien le gland est sensible et source d’excitation.
Il suffirait que je… Et je le fais. Je n’ai qu’à me pencher un peu et légèrement avancer mon visage, pour que mes lèvres entrent en contact avec le bout rose. Une aspiration et le voilà dans ma bouche. Son odeur est forte, restes de sperme séché que la capote a abandonnés, mais cela ne me déplaît pas. Au contraire, comme une madeleine de Proust, j’ai le ...
... souvenir de cette verge qui me bourrait il n’y a pas si longtemps. Mes lèvres progressent en rampant et bien vite je peux tenir la queue entière dans ma gorge. Mes lèvres butent sur le pubis, les bourses touchent mon menton et mon nez reçoit de forts effluves, mélanges de transpiration et de sperme. Cela ne me rebute pas, au contraire, j’apprécie le côté animal qui s’en dégage.
Mais l’animal ne reste pas lové sans réagir dans ma gorge. Je le sens se réveiller comme un serpent se dresse pour attaquer. Bien vite, je dois reculer sous la croissance du sexe qui se déploie, gonfle et s’allonge. Je ne sais si le propriétaire est réveillé, mais son appendice, lui, montre maintenant toute sa vaillance.
Marc change de position. Maintenant couché sur le dos, certainement entre sommeil et éveil, sa queue arrachée à mon adoration gît bien alignée sur son ventre. Bâton de chair dans l’axe parfait des bourses. Moi aussi je me déplace. Pas question de laisser s’enfuir ce moment si fragile où l’homme qui bande, érection naturelle ou provoquée, est tout entier à notre merci. Je l’enjambe, à cheval sur ses jambes et plonge sur lui. Pas question d’utiliser mes mains, seules mes lèvres doivent pouvoir cueillir le bout et le redresser par ma bouche. Je sais qu’à cet instant ma chevelure procure des sensations particulières sur la peau de l’homme, c’est ce que me dit mon mari à chaque fois. Cela ne rate pas et lorsque j’ai sa queue dans ma gorge et que je chasse mes cheveux de mes yeux, alors je ...