1. Mariage !


    Datte: 19/01/2020, Catégories: ff, ffh, fplusag, inconnu, campagne, fête, Oral pénétratio, init, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... piste. Fleur n’est pas là. Son compagnon, lui, est toujours à la table.
    
    — Fleur n’est pas là ? lui demandai-je.
    — Elle est montée dans la chambre.
    — Ah !
    — Mais, et il se rapproche de moi pour me parler à l’oreille, elle m’a laissé un message pour vous.
    — Ah bon !
    — Oui, si vous voulez récupérer votre petite culotte, il faut passer la chercher dans la chambre. Chambre 35.
    
    Je suis certaine de piquer un fard, comme une ado mal à l’aise. S’il sait pour ma culotte, alors il doit savoir pour le reste ? C’est évident, vu le regard qu’il me porte.
    
    — Rassurez-vous, nous ne nous cachons rien, mais je sais rester discret. Et, ma chérie sait y faire, non ?
    
    Que répondre ? D’ailleurs il me laisse, après un« À tout à l’heure ».
    
    J’ai l’impression que les derniers convives me regardent. Mais non, ce n’est qu’une impression. Je me lève pour aller saluer les parents des mariés, toujours fidèles au poste, et me dirige vers ma chambre.
    
    C’est au dernier moment que je me décide de passer par la 35. Demain j’ai prévu de partir directement et n’aurais peut-être pas l’occasion de revoir Fleur. D’ailleurs pourquoi n’irais-je pas reprendre mon bien ? Elle ne va pas me manger.Lucie, tu es une grande fille et ce n’est pas une gamine, même de vingt-cinq ans, qui va te faire peur. Assume, ma fille ! dit la petite voix en moi.
    
    Lorsque je frappe à la porte, discrètement pour ne pas déranger les voisins, on me répond aussitôt, la voix de Fleur :« Entrez, c’est ouvert ». La chambre ...
    ... est dans la pénombre et il me faut quelques secondes pour repérer une silhouette.
    
    — Avancez, poussez la porte, je ne vais pas vous manger.
    — Je suis venue pour récupérer mon bien, dis-je en faisant les quelques pas qui me rapprochent d’elle.
    — Votre bien ?
    — Ma petite culotte, si vous préférez.
    — Bien sûr. Tenez, la voilà.
    
    Et elle me tend le tissu blanc. Nous la tenons chacune dans la main, mais elle ne la lâche pas.
    
    — Un baiser. Juste un baiser et vous partez avec. Vous me devez bien cela.
    
    Et disant cela, elle tire sur le fin tissu pour me faire venir jusqu’à elle.
    
    Alors tout bascule. En une seconde la douceur de ses lèvres déclenche en moi l’envie de continuer. Au diable la culotte que j’abandonne pour tendre mes mains, en saisir son visage et l’embrasser avec une envie irrépressible. Cette fois c’est moi qui fais sentir le poids de ma passion et qui fouille sa bouche pour jongler avec sa langue.
    
    Nous luttons un instant mais c’est pour nous déshabiller l’une l’autre. Elle connaît mon corps, je découvre le sien. Même s’il fait sombre, je m’émerveille devant la finesse de sa taille, son ventre plat, ses petites fesses et ses seins menus. Comment un corps si peu charnu peut-il dégager une sensualité que j’adore ?
    
    C’est à moi de jouer avec ses sens. Inutile de me dire quoi faire. Je le sais, c’est tout. Une femme sait ce qu’une autre femme attend. Ses seins sont des petites poires où je m’essaye pour étancher ma soif. Que c’est bon de sentir ses fruits ...
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