Mariage !
Datte: 19/01/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
fplusag,
inconnu,
campagne,
fête,
Oral
pénétratio,
init,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... statue. À la fois terrifiée de ce qui peut arriver, mais aussi de ce que je peux faire cesser par un seul mouvement.
Quel goût délicieux de ces lèvres sur les miennes, de ces lèvres que Fleur a juste soulignées d’une crème hydratante et parfumée devant le miroir, tout à l’heure ! Des lèvres de femme, tendres et pulpeuses. Des lèvres dont une pointe de chair semble sortir pour venir lécher les miennes, plus marquées d’un maquillage rouge vif, gras et puissant, pas du tout prévu pour un baiser. Mais la langue ne s’attarde pas, elle avance, repousse et s’aventure dans ma bouche que je lui cède. Alors commence une douce bataille de nos langues faisant connaissance et qui jouent au chat et à la souris. Fleur, malgré sa douceur, se comporte comme un homme, comme mon mari, au temps où il avait encore soif de mes lèvres et ne les considérait pas encore comme un orifice parfait pour son sexe d’homme.
Je réponds à son baiser. Oui je n’ai pas honte de dire que c’est bon, inconnu, agréable, juste rappel de quelques baisers exploratoires avec des amies au temps bien lointain de l’adolescence. Nos visages se touchent, nos nez se heurtent dans ce qu’il faut bien appeler un baiser fougueux et sensuel. Fleur est contre moi. Son corps écrase le mien, appuyé contre le dosseret du banc. Elle emprisonne ma tête entre ses mains comme pour en prendre le contrôle. Mais ce n’est plus nécessaire, je fonds sous ses baisers.
Bientôt elle tire sur les bretelles de ma robe pour les glisser sur ...
... mes épaules et le long de mes bras que je laisse contre mon corps, poupée paralysée mais consentante.
Ah, le contact de sa paume lorsqu’elle enveloppe mon sein ! Ma poitrine libre de soutien-gorge que le dos nu de ma robe rendait impossible est déjà gonflée dans une attente que mon subconscient a décidée depuis longtemps.
Je suis fière de ma poitrine, fière de mes seins que la maternité n’a pas déformés et qu’une gymnastique quotidienne conserve bien hauts. Ce sont des mains douces, des mains expertes qui s’en emparent pour les envelopper et les caresser. Mes tétons sont maintenant des pointes que Fleur suce entre ses lèvres ou malaxent entre ses doigts. C’est bon, doux, tendre et excitant.
Mais la coquine continue sa descente et accompagne la chute de ma robe qu’elle replie soigneusement sur le banc. Me voilà presque nue face à une inconnue, une femme que je ne connaissais même pas il y a quelques heures. Heureusement la nuit me protège, enfin j’aime croire que ma pudeur est sauvegardée par la seule lueur des étoiles.
Les baisers courent maintenant sur mon ventre, s’attardent vers mon nombril et le petit piercing qui le souligne. Fleur s’y attarde. Est-elle surprise de trouver un tel bijou chez une quadra, une mère de famille bien sage ? Probablement. Que penserait-elle si je lui avouais que j’ai déjà prévu de me faire percer un téton ? A-t-elle idée, à son âge, de ce qu’une femme, une mère, doit faire pour conserver son mari ? Un mari soumis à la tentation de ...