1. La vengeance et la haine


    Datte: 18/01/2020, Catégories: fh, ff, hplusag, oncletante, copains, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, délire, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... Logiquement, la soirée est très loin d’être terminée, mais nous devons défiler demain soir à Los Angeles, et il est hors de question de se pointer sur scène avec des cernes sous les yeux… Il est donc temps pour nous d’aller nous pieuter.
    
    Le hall est vide, tout comme l’ascenseur. Peter, faux compagnon, mais vrai garde du corps de Jennifer, nous accompagne, Logan et moi. Même si nous venons de passer notre soirée collées à nos cavaliers, tout se passera comme à l’habitude : flingue en main, l’un d’entre eux va entrer inspecter la chambre pendant que l’autre nous protégera toutes les deux, jusqu’à ce que nous nous disions bonne soirée et qu’ils aillent tranquillement pioncer dans les deux piaules situées de chaque côté de la nôtre.
    
    Enfin, c’est ce qui se passe habituellement… Parce que l’accueil, sur le palier, est plutôt du genre chaleureux ! Une première bastos qui fait voler le miroir de la cabine en éclats, et c’est tout bonnement une dizaine d’hommes en armes, tous du type sud-américain, qui nous tombent dessus. Seul petit détail que les zigs n’avaient pas prévu, c’est les deux calibres qui commencent à défourailler avant même qu’ils n’aient ouvert la bouche… Ça pétarade dans tous les coins et à cet instant précis, le souvenir de notre évasion du navire d’Ernesto me revient en mémoire : je fouille dans mon sac, en sors le minuscule pétard et commence, moi aussi, à tirer dans le tas. Bon sang, il n’est pas bien gros, mais il semble faire du dégât ! À moins que ce ...
    ... soit celui de Jennifer qui, à genoux, est en train d’allumer tout ce qui passe à sa portée…
    
    La fusillade s’arrête enfin, juste le temps pour nous de constater que, malgré les innombrables impacts de balles tout autour de l’ascenseur ainsi que dans la cabine proprement dite, personne n’a été miraculeusement blessé… À l’exception de Jennifer dont le genou a été légèrement entaillé par des éclats de verre. Par contre, la fumée qui commence à se dissiper nous confirme que la musique n’a pas été la même de l’autre côté, puisque tous nos assaillants sont morts. Tandis qu’il fouille les poches à la recherche de papiers d’identité, Peter s’interroge :
    
    — C’est quand même bien bizarre…
    — Qu’est-ce qui est bizarre ?
    — Leur façon de faire… Dans ce genre de cas, le plus simple est de ne pas attendre l’ouverture de la porte, mais de canarder au travers. Pour moi, pas de doute, ce n’était que des amateurs.
    — À moins qu’ils aient reçu l’ordre de nous capturer vivantes ?
    — Quand on veut épargner quelqu’un, on ne tire pas dans le tas ! Mais sur un coup comme ça, c’est curieux que votre ami n’ait pas envoyé des spécialistes de troupes d’élite. Si cela avait été le cas, c’est nous qui serions refroidis, en ce moment. Oh putain, Jennifer !
    
    Non, Jennifer n’est pas blessée, mais elle est tout simplement en train de faire une crise de nerfs. Tout son corps tremble, elle hurle, se roule à moitié par terre, tandis qu’elle blêmit et que ses yeux se révulsent. Après l’avoir allongée tant bien ...
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