1. Qui fait l'ange fait la chienne (2)


    Datte: 17/01/2020, Catégories: Divers, Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... carne, les moindres recoins, recto, verso, les pleins, les cavités, les monts, les mamelons, les tétons à réaction. Bien sûr, ne pas épargner le postérieur, bichonner l’opulente rotondité. Puis, penchée en avant, rainure écartée, tant pis pour l’amour propre, le briquage du fondement. Objectif : un anus souple et reluisant. Par contre, en conformité avec les conseils du gynéco, être bien moins intrusive à la cave, ne pas laver l’intérieur du vagin et surtout, pour préserver la flore de la fleur, pas avec du savon, se contenter d’un léger soin vulvaire, superficiel et neutre pour la fente.
    
    Une fois séchée, je me suis épilée à la cire chaude. J’ai la chance d’avoir une peau de blonde. Mes jambes sont un véritable lac de douceur. De ce côté-là, pas de problème. Mais je tenais à livrer une minette juvénile, toute glabre, d’une douceur immaculée au touché, avec un lissé qui valorise le bombement des lèvres, pas le moindre poil pour perturber le dessin de la fente.
    
    Libérer sa féminité de toute pilosité, quelle torture !
    
    Je ne comptais pas fléchir. Mais comment ne pas être perturbée ? J’apprêtais mes orifices pour Thibaud. Tous mes orifices ! Car, afin de présenter à Thibaud une netteté exemplaire, et ce quelle que soit la position qu’il me ferait adopter, armée d’une pince à épiler, j’ai écarté aussi ma raie et, grâce au reflet conjugué de deux miroirs, me suis pliée, soumise à une inspection minutieuse de toute la région anale, une traque du moindre poils disgracieux, ...
    ... arraché sans pitié. Un anus nickel ! Mais par pure précaution. Dans le pire des cas, ce petit trou, il s’agissait uniquement de l’offrir au regard de mon homme. Que Thibaud veuille me sodomiser, l’idée a bien sûr effleuré mon esprit, mais j’ai chassé cette perspective répugnante. Jamais je ne me prêterai à des actes contre-nature ! Je savais pertinemment que certaines filles acceptent des pratiques aussi abjectes. Je l’avais constatée en regardant effarée des vidéos pornos. Féministe convaincue, je plaignais sincèrement ces pauvres femmes qui, pour de l’argent ou par conditionnement, pour satisfaire la perversité des hommes, se laissent avilir, utiliser comme des objets, par tous les orifices. De malheureuses victimes absolument pas responsables de leur déchéance. Depuis la nuit des temps, l’homme instrumentalise les femmes, manipule leur esprit pour qu’elles adhèrent à leur vision purement machiste de la sexualité.
    
    Ce que j’avais vécu avec Thibaud relevait d’un tout autre ordre : l’amour. La perte de ma virginité dans ses bras et la découverte de la jouissance constituaient un basculement fondateur pour ma vie de femme.
    
    Certes, cette révélation ébranlait mon être. Mon point de vue évoluait, perdait forcément de sa radicalité. Moins intransigeante, j’admettais désormais qu’emportés par la passion, les ébats deviennent inévitablement licencieux et les propos des hommes outranciers ; il faut alors considérer les insultes comme le témoignage exalté de leur flamme. Mais ...
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