La fibre ou la vie
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
cocus,
vidéox,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... petite robe d’été que nous avons acheté ensemble. Une petite robe d’été, moulante, ne supportant pas de soutien-gorge et que je lui conseillais de porter sans petite culotte afin de rendre nos sorties en ville et au resto un peu coquines. Première expérience de ce sentiment de transgression et si les autres ne se doutaient pas que Julie était nue sous ce mince tissu, elle et moi le savions et cela nous excitait au point de baiser avant même de retrouver la sécurité de notre location ou du bateau.
Elle a préparé des coupes et du champagne. Voilà encore une preuve. Pour la visite d’une copine, on ne fait pas cette mise en place.
On sonne. Astrid entre. Elles se font la bise. La caméra du salon prend la suite. Elle aussi est sur son « 31 ». Elle aussi porte une robe. Pour une fois, elle paraît plus sage que Julie. Un sac à main dans le pli du bras.
Elles se regardent. Je vois nettement Julie faire le premier pas et enlacer sa maîtresse. C’est comme une impatience. Le baiser est tout de suite torride. Mais Julie recule, prend Astrid par une main.
— Viens, allons dans la chambre. J’ai trop envie.
C’est presque ce qui fait le plus mal. Cette envie affichée. Cette envie alors que je me souviens très bien que, dans la continuité des vacances, nous faisions l’amour tous les soirs et parfois le matin. Et là, elle avoue une envie de sexe avec sa copine.
— Non pas dans la chambre ! Pas comme ton mari ! Non, restons ici. J’aime bien ton salon. On peut…
Elle fait ...
... deux pas pour poser son sac sur le vaisselier et revient vers Julie.
— Comme tu veux.
Et le baiser reprend. Fougue, tête qui se penche, lèvres ouvertes qui cherchent à envelopper les autres, langues qui dardent. Astrid entreprend de descendre la fermeture éclair de la robe de ma femme.
— Non, laisse-moi faire.
J’assiste alors au déshabillage de la visiteuse. Putain qu’elle est belle ! Je l’avais aperçue en maillot de bain et je l’avais reçue, élégante, avec son mari pour ce repas de « travail ». C’est une beauté différente de celle de ma femme. Pas de cette beauté africaine où les rondeurs sont des appas. Non, une beauté de mannequin dont la peau noire met si bien en valeur tout ce qu’elle porte. Des seins menus, des hanches étroites, des fesses juste ce qu’il faut et le tout d’un noir que ne renierait pas notre peintre national qui sait si bien jouer des reflets et de la texture de cette « non-couleur ».
C’est Julie qui la fait allonger sur le canapé, faute du lit conjugal.
Merci, Astrid, de ta délicatesse. À moins que tu n’aies eu peur que la chambre rappelle trop à ma femme, son statut de femme mariée. C’est grâce à ça que je sais tout.
Son amante allongée, Julie fait descendre sa robe. Elle est nue dessous. Encore une preuve.
Elle recouvre le corps de sa maîtresse avec le sien. Blanc sur noir, quel contraste. Elle suce les lèvres pulpeuses et brillantes de la belle alanguie. Elle l’embrasse. Elle la caresse. Elle frotte ses seins lourds sur ceux ...