1. La fibre ou la vie


    Datte: 16/01/2020, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... semble paralysée et pourtant son visage montre des signes manifestes de plaisir. Les yeux fermés elle semble se cacher derrière ses paupières pour ne pas voir ce qui se passe. Surtout que maintenant son amante est descendue et que le bas du maillot est une barrière qui ne l’arrête pas. Elle tire dessus. Les reins se soulèvent. La culotte gît au sol. Un visage la remplace. Astrid lèche ma femme. Et elle doit bien le faire si j’en juge par les cuisses qui s’ouvrent et les crispations des lèvres qui expulsent des gémissements que maintenant je sais à qui attribuer.
    
    Ma femme se fait gouiner par sa copine. Les mains aux ongles bleus virevoltent passant d’un sein qu’elles caressent, d’un téton qu’elles tordent et l’une disparaît longuement, cachée par la tête de la femelle. Mais je devine à la position et aux mouvements du bras que des doigts indiscrets s’activent dans la fente.
    
    Cela arrive bien plus vite qu’avec moi. Astrid a des arguments que je n’ai pas et je vois la jouissance monter rapidement. Je la vois aux mains, celles-ci manucurées avec du vernis à ongles rouge qui se plaquent sur la tête de la lécheuse. Je la vois aux crispations du visage et aux mouvements du bassin. Mais surtout je l’entends par le « Ouiiiii… » qui semble sans fin et qui crie que je suis cocu.
    
    Cocu par une femme ! Est-ce que cela compte ? Jamais je n’avais imaginé cela. Par un homme, oui ! Par une femelle, non ! En plus, par l’épouse d’un collaborateur. Et si elle le raconte à son mari ! ...
    ... Moi, le patron, cocu par délégation !
    
    De toute façon, c’est trop tard. Cela date de près de quinze jours. J’essaie de me souvenir si l’attitude de son mari a changé. Non, je ne crois pas. Pas de différence. Toujours du respect envers moi ! Astrid a dû garder le secret. Comme ma femme l’a gardé envers moi. Secret de complices, d’amants, que dis-je, d’amantes, de couple adultère.
    
    Sur l’écran, Astrid se relève pour aller embrasser Julie. Partage de la mouille pour bien signer le forfait.
    
    Et puis elle regarde sa montre. Elle se lève.
    
    — Je suis en retard. J’ai un rendez-vous avec un client. Je me dépêche.
    
    Rapide vérification avec un petit miroir sorti de son sac. Elle se penche à nouveau sur ma femme toujours sur le canapé. Petit baiser.
    
    — Je peux repasser demain ?
    
    Elle n’attend pas la réponse.
    
    — Vers deux heures, c’est bon pour toi ?
    
    Le « oui » me montre, si je ne le savais déjà, que ce n’est pas qu’un moment de faiblesse. D’ailleurs elle ne bouge même pas, comme anéantie par cette jouissance coupable.
    
    <Jour 1 »
    
    J’ai appelé la première fois, « Jour 0 » comme si mon subconscient admettait que ce jour-là ne comptait pas. En réalité il n’aurait pas compté, s’il n’avait été suivi de tant d’autres rendez-vous. Pourtant je considère que c’est le lendemain, rendez-vous pris à l’avance avec un but évident, que ma femme a réellement plongé dans l’adultère.
    
    Sinon pourquoi je la vois apparaître sur son « 31 » ? Coiffée, maquillée, avec des bijoux et cette ...
«12...456...21»