La fibre ou la vie
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
cocus,
vidéox,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... pouce est entré en pays déjà conquis. Ma main se crispe sur les reins pour ne pas me gêner dans ma possession.
C’est bon ! Vraiment bon ! Tout est plus sexe ! Le regard de ma femme. La peau sombre de son amie. La perversité de ce trio improvisé. En entrant pour les surprendre, j’étais loin de me douter de la suite. D’ailleurs qui l’aurait imaginée. On me l’aurait raconté que je n’aurais pas cru le narrateur. Et pourtant !
Pourtant c’est bien moi qui retire mon mandrin pour le plaquer dans la raie sombre. Cette tige rose, blanche, souillée de trace de plaisir tranche sur la peau sombre. Elle paraît énorme, disproportionnée. Difficile d’imaginer qu’elle sort de… difficile d’imaginer que ce petit trou que j’ai vu se refermer lorsque mon pouce s’est retiré, oui, difficile d’admettre que mon gland puisse…
Et pourtant… Oui, la femelle souffle lorsque je pousse plus fort. Oui, j’entends un « Ohhh », vite avalé par le baiser de ma femme qui salue que mon gland force le passage. J’insiste. Je sais ! J’ai vu dans leurs vidéos Julie enculer sa complice avec un gode assez imposant, peut-être pas si gros que ce que je fais entrer, millimètre par millimètre, progression contrôlée autant pour le plaisir de regarder que de ne pas brusquer le cul étroit de la femme.
Mon ventre couvre ses fesses. Encore une fois…
« Attention me dit une petite voix dans ma tête, on va finir pas t’accuser de racisme en insistant ainsi sur la différence d’épiderme »« Mais non, au contraire, ...
... répond en écho une autre voix, quoi de plus égalitaire que le plaisir du sexe. »
Oui, j’assume. Ventre blanc et mains blanches qui couvrent et maintiennent la chienne que j’enfile bien à fond. Femelle prise dans l’étau bien agréable du mari et de la femme.
Son cul est étroit. Sa rondelle étrangle ma hampe et lorsque je m’approche de la sortie, il se ferme encore plus sur mon sillon comme pour m’empêcher de ressortir. Mais moi, je veux ressortir. Rien de plus beau que ce trou qui reste ouvert et que j’envahis à nouveau alors qu’il commence à se refermer comme à regret.
Elle crie. Oui, les lèvres de ma femme n’arrivent plus à contenir, mais pourquoi ne pas laisser exprimer ce plaisir. D’autant que je sens que moi aussi je vais venir. L’anneau qui enserre mon gland et sa base me branle délicieusement et quelques va-et-vient suffisent à me « finir », alors que ma partenaire redescend de son Olympe de plaisir.
Non, je ne le dirai pas et pourtant. Oui, pourtant que c’est beau ce liquide gras, visqueux, blanchâtre qui s’écoule de ce petit cul que je viens de labourer.
Oui, je vous pardonne…
PS
Depuis que j’ai nommé mon directeur adjoint, j’ai plus de temps libre. Je peux m’absenter un peu pour retrouver ma femme et Astrid. La pauvre ! Son mari la délaisse. Il a tellement de travail. Je me charge, et Julie avec moi, de la consoler. Nos parties sont mémorables. Les coquines m’ont même fait découvrir le plaisir de se faire prendre par-derrière. Je reconnais qu’un gode ...