La fibre ou la vie
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
cocus,
vidéox,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
vengeance,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... mains. Dix doigts. La droite s’occupe de la chatte, de la fente, du clitoris, jouant doigts rassemblés pour se plaquer ou doigts égoïstes plongeant dans les profondeurs. La gauche, surtout son pouce, qui trouve le chemin du petit trou après juste quelques sollicitations et un peu de salive.
J’ai la satisfaction d’entendre Astrid gronder sous mes caresses. Julie qui a déjà joui me regarde, mais conserve la tête de sa complice plaquée contre son intimité. Prison de chair alors que son mari fait de son mieux pour « branler » le con et le cul de la chienne qui se tortille sans retenue. Elle aussi jouit, c’est une évidence. Quelle satisfaction d’apporter sa contribution à ce couple de gouines. Gouines, mais aussi, bi, car je ne doute pas que la belle Astrid ne soit aussi une bombe sexuelle pour son mari.
Je rebande déjà. Nul doute que cette situation soit un « Viagra » naturel des plus efficaces. Mon érection est visible. Julie la constate alors que sa complice reprend son souffle, toujours calée entre ses cuisses.
Elle me sourit. Elle fait relever la tête de la chienne déclenchant la plus belle des cambrures. Elles échangent un baiser. Encore une façon, par l’échange de leur mouille de sceller une complicité. Mais aussi Julie dit dans un murmure que j’entends à peine :
— Tu veux que Jean te prenne ? Regarde comme il bande pour toi.
Elle tourne la tête. Ce qui se tient vertical, mât de chair qui se dresse hors de mes cuisses me semble plus imposant que d’habitude. ...
... Je suis assez fier, bien que je n’y sois pour rien, la nature ayant fait plus que sa part, de ma queue. Elle est belle, élégante, stylée et surtout longue, large et très dure en érection. Une dureté qui m’a posé un problème à mon adolescence, car si sensible que je crachais très vite, parfois trop tôt, avant d’avoir apporté le plaisir à ma partenaire. Mais j’ai appris à me contrôler et avec l’âge, je sais maintenant me retenir comme je veux.
Le hochement de tête est une signature au bas d’un contrat.
Julie maintient le visage de sa maîtresse tout contre le sien. Moi, je n’ai plus qu’une envie. La posséder. Prendre ma part de ce duo singulier, mais finalement si agréable à partir du moment où ce ne sont plus des vidéos avec la froideur d’un écran, mais une réalité bien chaude.
Je pousse et j’entre. Le vagin est étroit, celui d’une adolescente ou d’une femme n’ayant pas encore enfanté. C’est étroit, mais humide, presque crémeux. Ma bite y découvre les traces du plaisir que mes caresses ont apporté. La cambrure est totale. Un creux entre deux vagues.
Je la baise. C’est bon. On entend ma queue qui brasse et nos chairs qui claquent. Tout cela sur un grondement continu, à peine entrecoupé de soupirs et de respirations alors que je pousse mon mandrin au plus profond. Julie participe maintenant en caressant les seins de sa copine et la salope d’Astrid a tendu une main que je sens pour se caresser son petit bouton.
Ma main gauche retrouve le chemin du petit trou. Mon ...