1. Au concert


    Datte: 14/01/2020, Catégories: fhh, extracon, hotel, Oral Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... !
    — Tu peux m’appeler Jacques.
    — Merci, Jacques, et excusez-moi pour le dérangement.
    — Mais tout le plaisir est pour moi.
    
    Jacques m’avait regardée, l’œil en coin. Il savait que je n’avais pas exagéré. Pas le temps. Il en semblait presque déçu. C’est à ce moment que Martin s’est aperçu qu’il avait oublié son sac dans la salle de bain.
    
    — Excusez-moi, Sandrine, je crois que j’ai oublié mon sac dans votre chambre. Je peux vous emprunter vos clés ?
    
    Je me suis levée tout en répondant que j’allais l’accompagner. Jacques a regardé Martin en disant « Prenez votre temps, cette fois… »
    
    Arrivés dans l’ascenseur, je n’ai même pas attendu que les portes se ferment. Immédiatement, Martin a senti une main sur son sexe et ma langue dans sa bouche. Il a dû comprendre qu’il allait devoir me baiser avant de retrouver son sac, et manifestement l’idée n’était pas pour lui déplaire. C’est ce qu’il m’a semblé quand il a pris mon cul à deux mains pour me soulever et coller son bassin contre mon ventre.
    
    Je n’avais pas remarqué qu’il était aussi costaud. Dans ses bras je ne pesais plus rien.
    
    J’ai glissé la carte dans le lecteur de la porte ; il l’a poussée du pied, et nous sommes entrés encore collés l’un à l’autre. Mes pieds ne touchaient plus le sol. Il m’a posée le temps de quitter ses chaussettes, son pantalon, son sweat et son caleçon. J’avais eu juste le temps moi-même d’abandonner ma culotte, et il ne m’a pas laissé le temps d’enlever le reste. Je me suis retrouvée à ...
    ... nouveau au-dessus du sol, la jupe relevée, ses mains sous mes fesses qui me soutenaient, le dos contre la porte, et sa queue qui commençait à pointer entre mes cuisses à la recherche d’un chemin glissant. Du coup, je n’ai même pas eu le loisir de le sucer, ce dont j’avais finalement le plus envie. Il prenait possession de ma chatte, comme ça, sans me demander la permission. C’est un vilain garçon, et je le lui ai dit. Plusieurs fois. Je l’ai même traité de salaud tellement il me défonçait sans ménagement. J’avais beau mouiller abondement, je le sentais quand même bien. Son large sexe semblait fait pour ma petite moule. Je ne suis pas grande et pas très profonde, et je n’ai pas besoin d’une longue tige pour que ça tape dans le fond. Lui était plutôt plus large que la moyenne, surtout le gland, et probablement très long aussi. Je le sentais bien me remplir et me pistonner au plus profond, ce que j’adore.
    
    Mais bon, je voulais surtout le sucer. J’en avais une énorme envie.
    
    Je lui ai demandé d’aller jusqu’au lit, et il m’y a emmenée sans se faire prier. J’espérais qu’il ressorte pour que je puisse le prendre dans ma bouche, mais je n’ai pas eu le temps de respirer. Il m’a jetée sur le lit, m’a retournée comme une crêpe, m’a soulevé le bassin et m’a prise par derrière comme une brute. Alors là, je vais vous avouer que je ne pensais plus à la pipe. Dans cette position, à genoux, il m’arrachait le vagin. Je n’en pouvais plus de sentir son bassin claquer contres mes fesses, de sentir ...
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