Au concert
Datte: 14/01/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
hotel,
Oral
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... foule immense et compacte, et envoient les décibels. On est tout au bord de la crise de nerfs, ça brûle sous les pieds, ça chauffe sous les bras, ça cuit entre les cuisses.
Je me prends des mains aux fesses sans arrêt. Je ne sais même pas d’où ça vient. Mon mari est à côté de moi et Martin derrière avec ses potes, mais ce n’est pas lui. Tant pis : si ça les amuse, ces « palpeurs », moi ça ne me dérange pas.
Ça saute, ça danse, ça hurle. J’adore cette ambiance. Mon voisin de gauche m’a fait tourner sur moi-même ; j’ai bousculé mes voisins, Jacques m’a rattrapée de justesse. Martin est venu me hurler à l’oreille que c’était le concert du siècle, l’apogée de sa vie. Ah bon ? Je croyais que c’était ma pipe d’hier… Goujat !
Il faut faire baisser la tension ; démarrent les mélodies plus sensuelles, plus douces, et tant marquées de sens.
Martin est derrière moi ; je me colle à lui, je veux qu’il me serre dans ses bras pendant « One », une chanson qui parle des jeunes et des capotes. Il m’embrasse dans le cou. Jacques s’est retourné : il a vu, il m’a souri. Si je suis bien, il est bien. Il est formidable.
Je sens des mains sur ma jupe, touchant mes fesses. Ça ne peut être que lui, cette fois. Ça ne se fait pas au milieu de la foule. La chaleur de ses mains se retrouve maintenant sous ma jupe, sur mon ventre, et ça se fait encore moins. Il n’hésite pas à envahir ma culotte pour me branler le clitoris. Alors ça, c’est pas possible ; il est gonflé ! Gonflé comme son sexe ...
... qu’il presse contre mes fesses. Il ose relever ma jupe, et je sens bien qu’il a sorti son engin pour me le caler entre les fesses. Là, on est dans le strictement interdit. On pourrait nous voir. Pire, on pourrait nous faire arrêter. Et je ne veux pas qu’il s’arrête ; alors, quand j’écarte un peu les jambes, c’est pour lui faire comprendre que je ne veux plus qu’il tâtonne : je veux qu’il me viole là, tout de suite, et si possible sans éveiller la curiosité de nos voisins.
C’est acrobatique, mais il est en train de me pénétrer. Je chante avec une queue qui me perfore, mais dans cette position il ne peut aller bien loin. C’est très bon, son gland qui me dilate, mais il ne pourra pas me donner le reste de son gourdin. Il faut faire quelque chose, mais vite. Je passe une main dans mon dos pour me saisir de son outil, le sors doucement de ma fente mouillée et me le frotte contre l’anus. L’angle est plus favorable, et je sais que dans un tel état d’excitation, je ne sentirai aucune douleur malgré le calibre de l’engin. Le bougre n’a pas besoin de mode d’emploi, et ne se soucie guère de l’environnement. À peine l’entrée trouvée, il me tient le bassin en poussant son chibre. Je l’accueille volontiers, et c’est le batteur qui lui donne le rythme pour aller et venir ; je vis une sodomie à ciel ouvert et en musique. L’extase absolue. Jacques est devant moi, je suis accrochée à ses épaules.
Des gens autour nous regardent et se parlent. Une bonne femme se fait enculer par un jeune : ...