1. Cocufiage programmé - 3


    Datte: 14/01/2020, Catégories: fhh, cocus, piscine, jalousie, Oral préservati, pénétratio, confession, couple+h, Auteur: Brmbrm, Source: Revebebe

    ... minable. Il se tourne, la bite semi-rigide, pendante, 15 cm… ma chérie se désape aussi. Alain la regarde, sans aucun complexe, le sourire aux lèvres. Moi aussi. Corsage, soutif, les pointes des seins sont déjà dures. Pantalon, culotte. La voilà toute nue ! Toute nue devant un autre homme tout nu ! Il descend dans la piscine, Elle le suit, prenant soin de ne pas s’immerger totalement, afin qu’il admire ses jolis seins. Comme un voleur, je me déshabille rapidement et saute dans l’eau, conscient que je ne fais pas le poids. Je n’ai pas un corps d’athlète. Nous nageons, calmement, elle émet de petits qualificatifs prometteurs :
    
    — Hum ! C’est bon ! Quel pied ! C’est vraiment super d’être toute nue…
    — Oui, super ! répond Alain
    
    Il sort de l’eau et prend une épuisette pour ramasser quelques insectes imaginaires en surface, bien tourné vers le bassin et sa promise. En fait, il veut juste montrer sa belle bite à sa future maîtresse. Elle joue le jeu, s’accoude sur le rebord, face à lui, la poitrine cambrée, superbe, hors de l’eau. La bite de son futur amant se redresse. Ella a les yeux rivés dessus. Moi, le futur cocu, je regarde ce jeu de séduction. Je ne vois pas comment elle échapperait à Alain. Cette petit comédie dure un peu, il ne fait même plus semblant de pêcher des déchets, il reste là, face à elle, à lui parler, Il ne lui parle pas de son désir, de ses seins impatients. Juste des mots aimables sur cette belle journée qui s’annonce. Elle semble fondre.
    
    — On va se ...
    ... faire sécher au soleil ?
    — Bonne idée. Après l’effort, le réconfort.
    
    Je sors de l’eau en même temps que ma femme. Nous allons vers la pelouse revêtue de serviettes. Elle se place entre nous :
    
    — Je me mets au milieu, c’est ça ?
    
    Personne ne répond. Elle nous prend la main, et nous allons vers le lieu de perdition. Elle s’allonge sur le ventre, les deux hommes de part et d’autre, sur le flanc, tournés vers notre proie d’amour, chacun ayant une vue sur la bite de l’autre, baromètre infaillible de notre désir. J’admire la belle bite d’Alain maintenant plus raide… Pendant quelques minutes, nous regardons notre femme avec envie sans oser commencer les travaux d’approche.
    
    Je donne le signal du départ, caressant le dos, la hanche et les reins de Marie. Alain ne fait rien. Pourquoi ? Je m’enhardis, caresse la fesse avec douceur. Elle se tourne vers moi, me sourit, lève le buste, appuyée sur ses coudes, les seins pendants. Alain passe la main sous le sein et le caresse gentiment. Elle se tourne vers lui. Je continue mes attouchements de plus en plus intimes. Il lui pétrit le sein. Je devine son accord. Il s’approche, l’embrasse. Puis, il se lève :
    
    — Il fait trop chaud, allons à l’ombre.
    
    Toute l’équipe se lève et se déplace de quelques mètres. Mais ma chérie s’allonge sur le dos. Alors, Alain lui empoigne le sein pour le sucer, le téter avec fougue… Elle se tourne vers moi :
    
    — Et toi, tu ne fais rien ?
    — Je regarde.
    
    Alain me lance un regard méprisant, attire Marie ...
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