Cocufiage programmé - 3
Datte: 14/01/2020,
Catégories:
fhh,
cocus,
piscine,
jalousie,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
couple+h,
Auteur: Brmbrm, Source: Revebebe
... rien.
— C’est ce que tu dis !
Nous rions, je lui prends la main… elle est très désirable. Je bande en imaginant qu’elle est déjà dans les bras de l’autre. En nous piétinons. Dix kilomètres en une demi-heure.
— Tu devrais l’appeler, qu’il ne s’inquiète pas.
— Tu crois ? (Elle n’aime pas le téléphone).
— Mets-toi à sa place : il attend une femme délicieuse pour la caresser, la pénétrer, la faire jouir. S’il ne voit rien venir, il va être dans un état déplorable. Ou il va croire que c’est encore un de mes coups bas. Appelle-le, rassure-le. Dis-lui qu’on vient, que tout va bien, qu’il aura ce qu’il désire.
Elle hésite, trouve la situation scabreuse : appeler son amant devant le mari pour lui dire : ne t’inquiète pas, le cocu sera bien cocu, il est là, à côté de moi…
— Allo ! Alain ? C’est Marie !… Non, pas de problème ! Enfin, si, juste un petit souci : ça bouchonne sur l’autoroute à cause d’un accident. Nous aurons au moins une heure de retard… mais ne t’inquiète pas, nous venons. Tout se passera comme prévu, avec un peu de retard.
Elle m’explique qu’il est très anxieux, qu’elle sentait son désir au téléphone, qu’elle a hâte d’y être, de découvrir enfin ce plaisir nouveau. Et nous lanternons encore une bonne heure.
Enfin, nous voilà devant la maison d’Alain. Il est déjà dehors, fébrile, très impatient. Il se jette sur elle, lui donne un petit baiser très chaste sur la bouche. Elle est très souriante.
— J’avais peur que vous ayez renoncé.
— Et nous ...
... voilà.
— Passons à table. Il est quand même deux heures.
— Excuse-nous, nous n’avons rien pu faire.
— Vous êtes là, c’est l’essentiel. Je craignais que ce soit un mauvais présage.
— Tu peux tutoyer ma femme, surtout maintenant, dis-je en riant.
Le repas se passe bien. Elle est assise à côté de moi. Lui, en face. Ils se regardent sans cesse, il lui sourit. Il la complimente sur sa forme, sa bonne mine. J’ose une allusion :
Moi : — Elle a rajeuni depuis quelques jours. Peut-être est-elle amoureuse ?
Lui : — Tu es amoureuse Marie ?
Elle : — Pas du tout. Je suis bien parce qu’il fait enfin soleil.
Lui : — C’est sûr que nous n’avons pas souvent un soleil pareil ici.
Moi : — C’est Marie, ton soleil ?
Lui : — Aussi. Deux soleils pour le week-end, ça se présente bien.
Moi : — C’est un signe !
Nous rions tous les trois. J’ai l’impression que mes deux partenaires précipitent le repas.
Lui : — Vu l’heure, on va peut-être faire l’impasse sur la sieste.
Elle : — Oui, il est trop tard. Que proposes-tu ?
Lui : — Un petit plongeon pour commencer.
Elle : — Oui, ça va être super.
Ils se lèvent presque trop vite, je commence à bander.
Nous entrons sous la serre ; plus de 30°, chaleur un peu étouffante. Personne ne parle, la tension monte. Alain est le premier à se déshabiller. Le T-shirt, belle musculature. Moi qui croyais que c’était un pépère. Pantalon : même qualité musculaire, slip, il me tourne le dos, ses fesses sont de toute beauté ! Je me sens ...