L'université : de la soumission à la consécration (8)
Datte: 13/01/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: donico, Source: Xstory
... maintenant son doux duvet pubien. Ma prude de petite sœur ne se rase pas, ça ne m’étonne qu’à moitié. Il faudra que nous remédiions à ça, mais en attendant je me plais à me dire que je suis le premier à explorer sa délicate intimité. Je suis une sorte de Christophe Colomb du vagin, version perversité familiale. Ça me va !
Je la regarde droit dans les yeux tandis que mes doigts s’approchent de leur but ultime, le temps semble suspendu. Elle ne fait plus rien pour m’empêcher de continuer, mais elle ne m’encourage pas non plus. Elle semble totalement dépassée par les événements, dépassée par des fantasmes qu’elle n’avait peut-être même pas réellement osé imaginer.
Je l’interroge encore une seconde du regard, cherchant une éventuelle indication de refus – je ne tiens pas à faire quoi que ce soit contre sa volonté – mais tout ce que je vois dans ses yeux, c’est la symétrie du désir qui m’anime. Je m’approche alors doucement d’elle, presque imperceptiblement, jusqu’à ce que mes lèvres ne soient plus qu’à quelques centimètres des siennes. Nos regards sont toujours plongés l’un dans l’autre.
— Je t’aime Charlotte.
Les mots sont sortis tout seul, j’ai été incapable de les retenir. Ça m’a juste semblé la chose à faire, comme si je ne pouvais plus cacher ce que je ressentais pour elle (en même temps, avec une main qui lui malaxe les seins et l’autre dans sa culotte…).
Elle ne répond rien, mais son regard pétille de plus belle. Mes doigts poursuivent leur exploration, ...
... presque malgré moi. Je ne sais toujours pas formellement si elle approuve tout ça, mais en tout cas elle ne me repousse pas.
Soudain, je n’y tiens plus : ses lèvres si proches des miennes sont une invitation que je ne peux refuser plus longtemps. Je comble les derniers centimètres qui nous séparent et je l’embrasse avec une passion que je n’ai jamais ressentie avant. C’est elle que j’aime, cela a toujours été elle.
Pendant ce temps, mes doigts atteignent son clitoris, le frôlant juste un instant, mais cela suffit à l’innocente pucelle qu’est ma sœur. Elle se dandine en tous sens, halète de plaisir, son corps est secoué par un orgasme d’une rare intensité. Notre baiser devient passionné, nos langues se mêlent. Charlotte pose une de ses mains derrière ma nuque et l’autre dans mes cheveux pour raffermir notre étreinte et me coller à elle. Geste instinctif mais bien superflu, car le désir qui m’anime vaut bien le sien.
Jamais je n’ai ressenti quelque chose d’aussi fort. L’espace d’un instant, tout est simple, tous est limpide : c’est ma sœur que j’aime, elle est la femme de ma vie, c’est elle que je veux tous les jours auprès de moi. Son vagin, que je ne fais que découvrir du bout des doigts, c’est en lui que je veux plonger mon sexe à l’avenir.
— Je t’aime Justin, je t’aime…
Ces quelques mots, j’ai rêvé de les entendre toute ma vie. Moi aussi j’aime Charlotte. J’aime ma sœur.
Mais même les plus beaux orgasmes ont une fin, et avec elle reviennent tout un tas de ...