Mes chères cousines (5) - Histoires de Sexe

Mes chères cousines (5)

... point que l’obsession de goûter à ce fruit unique fit monter mon excitation.

Emma excellait dans sa démonstration et balançait son corps comme elle le souhaitait tout en gardant sa volupté et en m’offrant un sublime spectacle en cambrant le dos la rendant d’autant plus sensuelle et féminine. Les secondes devinrent des minutes sans que je puisse m’en rendre compte et Emma s’assis sur le lit dans lequel j’étais assis à l’autre bout vêtu d’un simple caleçon, les jambes repliées pour tenter de camoufler mon excitation, elle se mit à quatre pattes sur le lit en avançant doucement vers moi, ses fesses se balançaient de gauche à droite et son dos formait une remarquable courbe, elle se tournât dos à moi pour venir s’allonger la respiration lourde, les jambes perpendiculaires à sa taille comme pour m’offrir son anatomie.

Le tissu pénétrait entre ses fesses laissant deux sublimes fruits blancs et si lisses surplombant ce que je pouvais clairement distinguer grâce au tissu qui épousait parfaitement la forme de son vagin, qui était devenue dans mon imagination, lieu de culte pour chacun de mes orgasmes. Elle se releva une fois sa respiration redevenue régulière pour se tourner vers moi et, en tirant mes jambes pour qu’elle soit à plat, s’allongea sur moi la tête sur mon épaule.

— Ça t’a plu ? Me demanda-t-elle d’une voix si douce et reposante.

— Beaucoup tu es sublime.

— J’aime sentir contre mon corps que tu es content.

Pris de honte, je compris qu’elle avait ...

... remarqué que mon pénis était dressé, ce que j’avais oublié tant mon esprit était troublé, je rougis et resta sans voix incapable de bouger. Elle redressa son buste et son visage se retrouva au-dessus du mien, elle avait les yeux emplis d’une flamme intense qui me fit réaliser que son corps bouillonnait contre le mien ce qui était très agréable.

— S’il te plaît cousin, laisse-moi te faire du bien !

Mon visage commença à se décomposer et, avant qu’il ne le soit totalement, elle approcha nos lèvres l’une sur l’autre nos langues se mêlèrent tentèrent, en vain, d’assouvir notre envie de l’un pour l’autre me laissant, un goût si subtil que l’extase m’embrasa de son plaisir. J’agrippai ses cuisses pour les positionner perpendiculairement comme elle l’avait fait auparavant, une fois dans cette position, je mis mes mains sur ses fesses ce qui lui fit animer son dos qu’elle cambra pour faire frotter mon bassin contre le sien ce qui accéléra nos langues qui semblaient animées par notre plaisir.

Je sentis vite que le tissu qui retenait le vagin d’Emma prisonnière ne me suffisait plus, j’avais besoin de la sentir autour de mon pénis et de l’entendre gémir, j’enlevai mon caleçon et glissai mon pénis entre son justaucorps et son vagin, le fruit coulant de son plaisir coulait déjà le long de mon membre qui glissait le long de ses lèvres vaginales et qui commençait à faire gémir ma petite-cousine, à la merci de son plaisir.

— Je veux être ta chose, fait de moi tout ce que tu veux.

Me ...