Mes chères cousines (5) - Histoires de Sexe

Mes chères cousines (5)

Le temps passa et je me sentais de mieux en mieux en compagnie de mes deux cousines jusqu’à ce que je réalise que mon séjour se terminait dans peu de temps, je me rendis compte que je n’allais plus passer autant de temps avec mes cousines que ce que j’aurai voulu. Le repas du soir fut légèrement attristé en raison de mes futures absences et, une fois le repas terminé, je pris directement ma douche pour me coucher plus tôt.

Je sortis de la salle de bains en caleçon, mes cousines y étant plus qu’habituées maintenant, puis je me glissais dans mes draps pour écrire quelques messages et consulter mon téléphone. Emma me rejoignit en insistant pour se coucher avec moi malgré l’heure à laquelle je me réveillais, et pour être honnête, je n’insistai pas et la laissai me rejoindre, trop habitué à sa présence. Elle se blottit contre moi tout en regardant mon téléphone, ce qu’elle adorait faire et qui ne me dérangeait pas trop, tout en donnant son avis sur chaque post Instagram tout en me pinçant quand j’osais dire qu’une fille était belle ou que je m’attardais trop sur une photo sexy, à tel point que je prenais ça comme un petit jeu et exagérais pour la rendre jalouse et ensuite la prendre dans mes bras pour la câliner pour rassurer sa jalousie presque maladive.

Entre deux posts, Emma m’avoua, tristement, qu’elle était déçue que je n’aie pas pu aller la voir à son cours de danse, je m’excusai honnêtement tout en lui caressant les cheveux avant qu’elle ne bondisse hors du lit pour ...

... me dire, emplie de joie, qu’elle pouvait me montrer maintenant, j’acceptai volontiers et la vis courir dans sa chambre puis l’attendis patiemment pendant une dizaine de minutes.

Elle entra dans la chambre, les cheveux attachés et uniquement vêtue d’un justaucorps noir qui semblait ne faire qu’un avec sa peau, de fines bretelles venaient rejoindre son buste formant un large décolleté contenant sa petite poitrine venant ensuite épouser sa taille pour s’échouer sur l’os de ses hanches qui formait un archipel vierge et sacré, le tissu continuait sa route en plongeant entre ses cuisses pour émerger de l’autre côté, en prenant soin de dévoiler ses fesses rondes et blanches.

Etonné et excité par sa tenue je me pris soudain d’une interrogation animée par une possessivité et aussi par la jalousie, s’habillait-elle comme ça devant tous ses amis à son cours de danse ? Elle m’ôta tout de suite cette question de mon esprit en m’expliquant que son short et ses collants étaient au lavage et c’est une fois rassuré, qu’elle commença à exécuter des pas tous plus gracieux les uns que les autres, sublimant chaque partie de son corps si bien proportionné.

Mes yeux parcouraient son corps sans même m’en rendre compte me laissant une expression médusée sur mon visage que les yeux gris, qu’elle avait pris le temps de sublimer avec du maquillage, fixaient accompagnés d’un sourire satisfait que dessinaient ses lèvres roses dont la texture semblait proche d’un nuage si lisse et si sucré à tel ...