Le Dauphin
Datte: 11/01/2020,
Catégories:
fh,
vengeance,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
portrait,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... trouve ravivé.
Il prend la décision de s’atteler à cette besogne, dès que possible, bien qu’il ne soit pas dans sa nature de brusquer les dames. Pour faire passer les petites mortifications qu’il envisage, il envisage de leur jeter quelques concessions quant à leur emploi du temps, leur vêture ou pourquoi pas leur chair.
Le lendemain, sans plus attendre, il met à exécution sa décision. Elizabeth est de service ce soir-là. Il lui demande de se dévêtir, en effet ces demoiselles n’assurent pas régulièrement fonction en tenue d’Ève, mais plutôt à leur fantaisie ou à la demande du Prince. Après avoir mangé, tout en lutinant comme à l’habitude sa « serveuse ». Quand il a fini, il annonce :
— J’ai encore quelques papiers à étudier. En attendant que je finisse, nous allons vous préparer.
Elizabeth qui est déjà nue, se demande ce qu’il veut dire. Il enchaîne :
— Mettez-vous à quatre pattes, bien cambrée, en écartant les cuisses.
Elle obtempère.
— Vous allez prendre lavement.
— Je ne suis point souffrante.
— Je sais, je sais, mais vous verrez cela sera utile pour le reste de la nuit. Écartez vos charmantes fesses.
Elizabeth, fort perplexe, obtempère de nouveau. Elle écarte ses globes à deux mains. Le Prince s’empare d’un clystère déjà prêt. Il oint d’huile l’anus de la belle et y introduit l’embout. Il pousse le piston. Les boyaux de la donzelle sont inondés. Il retire l’engin et retourne à sa table :
— Voilà ! Restez quiète ainsi, le temps que je ...
... finisse.
Elle reste immobile comme tétanisée. Peu à peu le liquide absorbé, manifeste le désir de sortir. La pression se fait de plus en plus impérieuse :
— Monseigneur, je…
— Attendez, j’ai bientôt fini.
Elizabeth serre les fesses de plus belle, mais l’inconfort va croissant, elle sent que bientôt elle ne pourra se contenir et devra ouvrir les vannes, d’une voix suppliante :
— Monseigneur !
— Ne pouvez-vous attendre ?
— Il faut que je me soulage.
— S’il le faut : faites.
Elle ne se le fait pas dire deux fois, elle bondit sur ses pieds et se rue vers le cagibi contenant la chaise percée. Après s’être vidée et essuyée, elle revient assez déconfite. Le Prince, qui constate que ce petit intermède ne l’a pas rebutée, l’accueille :
— Vous voici ! Nous allons récidiver, avant de poursuivre.
— Est-ce vraiment nécessaire ?
— C’est pour plus de sûreté. Mettez-vous en position.
À contrecœur, elle s’exécute. Il recommence l’opération, et de nouveau la laisse mariner, tout en lui demandant de lui amener des fruits, de lui chercher à boire. De bouger n’améliore pas franchement son aisance. Le Prince attend la dernière seconde pour la laisser aller dans le réduit. Quand elle revient, il ordonne :
— Appuyez-vous sur la table et écartez vos fesses.
— Un nouveau lavement, Monseigneur ? s’alarme-t-elle.
— Nullement. Cela est simplement pour voir.
Après une inspection détaillée, il déclare :
— Voilà qui est parfait. Caressez-vous !
— Que je me caresse.
— Oui da ! ...