Autre chose piquante
Datte: 11/01/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
asie,
couple,
copains,
amour,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
Oral
nopéné,
Auteur: Audrey, Source: Revebebe
... entre en moi, ça ne m’apporte rien. Lorsque je lui dis que son écart de conduite en est la cause, c’est un prétexte. Non, c’est bien plus profond que ça.
— Peut-être ne désires-tu que des rapports physiques lesbiens avec des caresses que seule une femme est capable de donner ?
— Non, car j’aime voir et toucher le phallus de mon homme, le cajoler, y poser des baisers, le voir se tendre dans ma main et même le sucer. Et pourtant, j’étais ouverte de partout.
— Même l’anus ?
— Oui. Au début, je n’aimais pas. Enfin, je n’osais pas, persuadée que ça devait être douloureux. En fait, je faisais tout pour éviter d’essayer, par peur. Et puis il y a eu ce mec, un pro de la sodomie. Les deux mois où j’ai été avec lui, il ne faisait que m’enculer. Il n’est jamais venu dans mon vagin.
— Moi, je ne connais pas et ne souhaite pas connaître. Mais qu’est-ce que tu ressens en plus ?
— C’est plus intense. Cet amant me disait « Ton cul, il est fait pour la sodomie. Ça aurait été dommage qu’un cul aussi tendre n’accepte pas une bonne bite ! » Alors après, l’anal faisait partie intégrante de ma sexualité. Je ne me privais pas du plaisir que ça me procurait.
— Ouais, bah, même si j’aime bien forniquer avec des mecs de temps à autre, je leur demande de laisser mon cul tranquille.
— Oh, je n’irais pas jusqu’à encourager les femmes à se faire sodomiser, d’autant plus qu’il faut que ça soit bien fait, surtout au départ. On est toutes différentes ! J’éprouvais un plaisir physique profond lorsque ...
... sa queue m’investissait le ventre ; à présent, un ou deux doigts dans mon con, un ou deux dans mon cul, cela me suffit amplement.
— Tu me dis que tu ne veux plus que ton mec te saute ; alors pourquoi as-tu des préservatifs dans ton sac à main ?
— Ah, tu les as vus ?
— Il faut dire que tu ne fais rien pour les planquer.
— En fait, c’est au cas où je pourrais en avoir besoin, avec un mec trop entreprenant ou si j’ai une envie soudaine de baiser.
Nadège regarde son amante dans les yeux. Elle est interloquée et lui demande :
— Cela t’est arrivé ?
— Oui, la première fois le mec voulait me violer. Il était menaçant, mais je ne me suis pas démontée. Encore aujourd’hui je me surprends d’avoir réagi comme ça. Je lui ai dit « Vous voulez me baiser ? Je vous préviens : c’est 50 € la pipe, 200 € la pénétration et 500 € la sodomie. Vous payez comment, par espèces ou par chèque ? Je ne prends pas la carte bleue. »
— Et alors, qu’est-ce qu’il a fait ?
— Il est parti à toute allure en me traitant de "sale pute". Je m’en suis bien tirée : je n’ai pas eu à sortir mes capotes, mais je les avais sur moi. Si vraiment il avait voulu me sauter, si j’avais dû en passer par là, par mon attitude j’espère que j’aurais pu négocier sur le port de la capote. Il y a eu une seconde fois, mais là, le mec ne m’a pas agressée. J’étais partie en Angleterre avec un patron de ma boîte pour négocier un gros contrat. Il m’avait demandé de venir avec lui alors que ce n’était pas dans mes attributions ni ...