1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (1)


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... l’amant.
    
    Alors j’imagine... un voisin... un ami... Quelqu’un de proche assurément.
    
    Je dois en avoir le cœur net. Il faut que je m’approche. Je vais les surprendre puis je partirai. En attendant mon avion je trouverai bien un petit studio à louer rapidement où je pourrais ressasser mon chagrin et survivre le temps du divorce. Car, n’en doutez pas, je vais demander le divorce.
    
    Je me relève péniblement, mes jambes flageolent, gravis lentement les dernières marches qui me séparent du couloir, pousse la porte entrouverte.
    
    Les cris de ma femme sont de plus en plus audibles maintenant bien sûr. Elle parle à peine. Elle jouit, elle jouit comme il y a belle lurette que je ne l’ai entendue jouir... C’est vrai qu’elle jouissait comme cela au début de notre relation, bruyamment, longuement...
    
    La moquette étouffe mes pas. J’hésite encore. Comment vais-je réagir devant l’homme qui baise ainsi ma femme ? Et si c’est un ami ? Je me laisse rarement aller à la colère, encore moins à la violence, mais vais-je supporter de voir ce que je vais voir ? Mais il serait encore plus insupportable de rester dans le doute. J’y vais.
    
    Ce que je découvre est un cauchemar !
    
    Je me recule contre le mur et m’effondre jusqu’au sol. Ma femme ne m’entend pas, elle ne me voit pas, elle me tourne le dos.
    
    Elle a étalé sur le carrelage et le tapis de la salle de bain des serviettes pliées pour poser ses genoux au sol. Elle est à genoux et s’appuie sur le banc-coffre. Elle est en levrette, le ...
    ... chien la monte. Elle lui a mis des chaussettes aux pattes (de vieilles chaussettes qui m’appartiennent) sans doute pour qu’il ne la griffe pas et ne raye pas le meuble.
    
    Je peux voir les couilles du chien (il a de belles coucougnettes Wévos- c’est son nom-) qui pendent bien et se balancent au rythme de ses coups de reins très rapides qui me font penser à la machine à coudre de ma mère par la régularité de son tac-tac.
    
    Elle jouit, elle jouit encore, sans retenue... Quelle humiliation ! Elle prend son éclate avec mon chien ! Elle le préfère ! J’ai un nœud dans la gorge, elle en a un dans le cul ! J’ai une boule au ventre, elle en a une paire aux fesses...
    
    Au sol, une petite marre s’étend régulièrement malgré l’absorption du liquide par les serviettes.
    
    Je ne sais pas combien de temps je suis resté là, prostré. C’est elle qui m’a tiré de ma léthargie. Alors l’idée me vient de prendre mon portable et de filmer.
    
    — Oh oui, c’est bon, c’est bon je sens que tu vas jouir mon gros, remplis-moi de foutre, pousse bien !
    
    Peut-être le chien a-t-il accéléré un peu, je n’en sais rien. Mais elle sent quelque chose. Elle passe sa main droite sous son corps, pour se caresser le clito et explose.
    
    — Ouiiiiiiiiii, c’est bon, ouiiiiiiiiiiii, il est bon ton sperme, remplis-moi..... oh oui, oh oui, oh oui... je le sens là, je le sens...
    
    Puis le chien s’arrête mais elle ondule encore du cul.
    
    — Tu es bon, tu es chaud, tu es gros... hmmmm... encore, encore.
    
    — Tu n’en as pas eu ...