Histoires de cocus (extra)ordinaires (1)
Datte: 10/01/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Il y a peu, l’un de mes bons amis s’est retrouvé cocu. Sa femme l’a trompé, puis l’a quitté pour aller vivre avec son amant, puis, au bout de quelque temps elle est revenue. Il l’a accepté. L’amour peut rendre fou comme il peut tout pardonner.
Quoi qu’il en soit, le monde est plein de cocus. Mon pote n’est pas le premier. Le cocu est une figure de la littérature, il est même le héros du vaudeville. En France, on aime les cocus, surtout quand ce sont les autres.
Il arrive que le cocu nous apitoie ou qu’il nous laisse indifférents, on peut même se réjouir de son infortune. Souvent, cependant, il nous amuse.
Dernier, la plupart du temps, à connaître son malheur et pouvant l’ignorer sa vie durant, il refuse son déshonneur ou l’accepte ou, encore, le subit. Parfois il le recherche. Mais est-ce encore alors un cocu ?
J’ai donc entrepris, amis lecteurs, amies lectrices, de raconter quelques histoires de maris trompés, sans liens les unes avec les autres. Chaque chapitre sera donc unique et sans suite par rapport au précédent.
Et, sait-on jamais, je pourrais écrire la mésaventure de ceux qui le voudraient.
Si j’ai préféré m’intéresser aux hommes dont la femme a regardé ailleurs, ne vous interdisez pas Mesdames ou Messieurs de me dire votre intérêt pour le sujet et si vous voulez que je narre aussi les outrages de femmes bafouées, dites-le-moi.
Et maintenant, aux cocus... ceci est leur histoire.
Chapitre 1
Où Jean-Claude découvre que le meilleur ami de ...
... l’homme est le meilleur amant de sa femme.
C’est une banale histoire de vol annulé. Problème technique. Pas d’avion avant 18 heures, donc retour à la maison.
La porte du garage qui s’ouvre en silence. Je m’y range, descends et je monte l’escalier sans faire de bruit. Béatrice dort peut-être encore. Il lui arrive de faire la grasse matinée.
Et puis les gémissements. Ils me parviennent étouffés mais je comprends tout. Elle est au lit avec un autre homme.
Ma vie bascule s’arrête. Je suis tétanisé, je m’affaisse et m’écroule sur les marches en béton.
J’entends les plaintes, les râles et les encouragements :
— Vas-y mon gros loup, elle est bonne ta queue. Prends-moi bien mon amour !
La voix résonne un peu. Elle doit être dans la salle de bain et pas dans la chambre. Je les imagine sous la douche mais je n’entends pas d’eau couler.
Chaque parole me fait mal, chaque mot me transperce. Les compliments qu’elle adresse à l’homme ne soulignent pas seulement son infidélité, ils appuient sur l’inégalité de nos performances sexuelles. Elle ne cesse de vanter la taille de sa bite, la caresse de ses poils sur son cul, le balancement de ses boules qui frôlent les chairs... j’entends tout. Je pleure de rage.
L’homme reste silencieux. Il ne dit rien. Le seul autre son qui me parvienne c’est celui du chien qui halète. Ah, s’il pouvait parler ! Il m’aurait prévenu de mon malheur... d’ailleurs je le trouve étrangement calme... c’est que vraisemblablement il connaît ...