Bourgeoise remplie au sperme (7)
Datte: 10/01/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... foutre jaillisse et que le calme revienne. Les mains deviennent plus agressives. Les claques pleuvent sur les fesses ou les nichons, on pince les tétons ou le clito, on agrippe le chignon qui se défait bientôt, on se cramponne à la nuque pour pousser sa queue jusqu’à la luette.
Dois-je le dire, quand elle en est à ce point de dépravation, je la trouve sublime. Les hommes croient la dominer, mais ils ne sont que ses jouets. Elle les tient dans ses rets, elle les tient dans sa raie... Elle leur fait perdre tout contrôle alors qu’elle, contrairement à ce que l’on pense, garde le sien. Elle jouit autant qu’elle en a envie et se fait plaisir jusqu’à la fin alors que la plupart débandent piteusement et s’en vont verge molle et couilles plates.
Et précisément, je me régalai à la voir empoigner ses seins, écraser la bite dans la chaleur de leur creux, pouvoir, quand la longueur du nœud le permettait, exciter le gland surgissant telle une comète quand le mec poussait en avant, et les masser encore après l’éjaculation pour que le sperme s’étale et vienne graisser un autre manche venu renouveler le geyser du plaisir.
Il n’est pas rare que la première éjaculation donne le signal aux gars les plus excités qui ne peuvent se retenir. On se campe debout, alors qu’un autre homme déjà se soulage entre les miches, et qu’elle continue à danser sur une queue figée en elle; On s’astique le chibre et la pluie blanche s’abat en larmes épaisses sur la femme quand l’homme arrive à contrôler ...
... son orgasme et vise juste. Le visage, le cou, les seins se couvrent de trainées épaisses qui ruissellent lentement. Elle a l’œil pour aviser les membres les plus juteux et aller recueillir à la source en les récurant bien, les ultimes gouttes du précieux nectar.
Si la plupart des garçons préfèrent ces douches de foutre, ces faciales violentes et ces ruisseaux de semence fraîche qui s’écoulent entre les seins et glissent sur la sueur en direction du nombril, le sperme au trou garde ses adeptes. Il y en a deux catégories; ceux qui pissent dedans, et ceux qui se retirent, laissent leur bave d’escargot sur le clitoris ou la rondelle et replongent leur membre encore dur dans l’orifice qu’ils viennent de quitter.
Ils ne sont ni plus ni moins endurants que les autres mais l’obligation qui leur est faite d’attendre que la place se libère, les maintient longtemps en érection. Mais là aussi, dès qu’un d’eux a joui, les autres se précipitent. Beaucoup ramassent du bout de leur gland le sperme que leur devancier a déposé et enfoncent leur sexe sauvagement avant de se vider les couilles à leur tour.
C’est ce qui se produisit. Les uns après les autres les mecs soulagèrent leurs burnes. Quelques-uns restèrent jusqu’à la fin mais la plupart, une fois leur coup tiré, reprirent leurs fringues et leurs bagnoles et se cassèrent.
Enfin, il ne resta plus que nous deux, le propriétaire du pick-up, le mec rougeot et Florian.
Je contemplai la femme couverte de jute, allongée, jambes ...