Bourgeoise remplie au sperme (7)
Datte: 10/01/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... rentra dans ma piaule comme un fou. Il faisait chaud, j’étais torse-nu et déjà en pantalon de pyjama.
- Alors ? Tu sautes ma meuf ?
- Ta meuf ? Quelle meuf ?
- Marie-Clotilde ! Elle me l’a dit. T’as passé la nuit avec elle.
- Tu te calmes, c’est pas ta meuf !
- Et il parait que tu vas voir ailleurs ? Que tu t’enfiles des mecs ?
- Je fais c’que je veux.
- Viens qu’on s’explique salope !
Et nous eûmes effectivement un explication (Nos lecteurs pourrons la lire dans "petit bourgeois surdosé" 2, s’ils aiment le sexe entre hommes).
A la fin de notre "entretien", il m’avait donné rendez-vous dans quelques jours avec Marie-Clotilde, pour un plan.
Il conduisit lui-même la Jaguar jusqu’au point de rendez-vous. C’était un dimanche après-midi.
Nous entrâmes dans un chemin large et poussiéreux. Dès que nous eûmes perdu de vue la route principale, il nous fit descendre.
- A poil, tous les deux (Je devais aussi faire partie de la fête mais je ne raconterai ici que ce qui concerne Marie-Clotilde. Le reste c’est dans mes aventures homosexuelles de "petit bourgeois surdosé").
Il n’y avait pas à discuter. Nous nous déshabillâmes. Une fois prêts, nous fîmes encore quelques centaines de mètres, toujours en voiture. Une barrière coupait le chemin. Dans la guérite, un gros homme, rougeot, torse-nu, nous laissa passer en pointant son pouce vers le haut avec un énorme sourire, un air de vice, de jouisseur qui sait que cela va bien se passer pour ...
... lui.
Encore quelques virages en descente, et nous nous retrouvâmes au milieu d’une carrière où se trouvait une bonne dizaine de véhicules. Il devait y avoir eu du covoiturage car les mecs étaient entre le double et le triple.
Le scénario était des plus simples et devait reproduire ce que Florian avait vu dans un film de cul. Il s’agissait pour Marie-Clotilde de se mettre sur le siège passager de la voiture, baisser la vitre et tendre son cul à l’extérieur pliée en deux dans l’habitacle. Les mecs défilaient pour prendre l’un des trous.
Il y avait des bites de toutes les tailles, des grosses, des petites des circoncises, des dures, des molles, des droites et des courbées, des poilues, des épilées et surtout des âgées. Les mecs avaient la quarantaine voire plus pour la majorité. Quelques-uns portaient une alliance.
Ils ne restaient que quelques instants, lui bouffant le cul ou trempant leur trique mais, même à ce compte là, ceux qui attendaient devaient être patients avant d’y revenir.
De plus, la position assise de Marie-Clotilde, les pieds sur le siège, le cul a l’extérieur, l’obligeait à se plier en deux, ce qui faisait reposer ses nichons sur ses genoux. Ils étaient ainsi difficiles d’accès à ces mâles qui voulaient les tripoter.
De fait l’assistance trouva que le délai était trop long et l’attitude peu pratique. Un mec proposa alors d’utiliser la benne de son pick-up.
Un autre avait des tapis de sol dans son coffre pour n’être jamais pris au dépourvu.
Nous nous ...