1. Bourgeoise remplie au sperme (7)


    Datte: 10/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... lui bouffant la chatte. Quand elle me parut suffisamment chaude, je m’étendis dessus en missionnaire et je commençai à aller et venir très lentement, ma poitrine écrasant ses gros seins et ma tête collée contre la sienne.
    
    Elle m’enserrait assez fortement comme pour me retenir captif, tout en me caressant. Elle soufflait intensément.
    
    Je réalisai que, pour la première fois je basais à deux. Jusqu’ici cela avait toujours été en groupe.
    
    Mon expérience de la nuit m’avait un peu paumé et mon plaisir n’était pas total. En tout cas , je profitais moins de la situation.
    
    - Alors c’était qui le mec ?
    
    - Tu ne le répèteras pas ?
    
    - Non, bien sûr que non.
    
    - C’est mon beau-frère.
    
    - Ton beau frère... si jeune ?
    
    - Oui, c’est compliqué.
    
    Et, pendant que je restai, un long moment, dans sa chatte, sans bouger, elle me raconta que son beau-père, une fois veuf, s’était remarié avec une jeune nana qui l’épousait pour son fric et qui s’était fait mettre en cloques rapidement de ce bâtard, Pierre-Antoine. Puis, peu avant de mourir, il avait su qu’il était cocu, il l’avait déshéritée. Quand au bâtard, jamais son demi-frère, c’est à dire le mari de Marie-Clotilde, n’avait voulu le voir et l’avait laissé quasiment à la rue.
    
    Elle ne l’avait plus vu depuis qu’il était adolescent et ce soir elle l’avait retrouvé. Il était arrivé après les autres. Elle avait eu peur qu’il aille tout raconter à son demi-frère mais lui, au contraire, il s’était déshabillé sans rien dire et ...
    ... l’avait prise en dernier, à l’aube. Il l’avait montée. Elle était terrorisée, mais comment s’y opposer. Puis il lui avait avoué qu’il la désirait depuis qu’il était devenu un homme. Il ne dirait rien à son "gros con" de demi-frère.
    
    - Tu comprends,me dit-elle, c’est le seul qui m’a prise comme une femme, avec tendresse, alors que les autres m’ont traitée comme un pute; pas lui, il a été délicat, prévenant, amoureux. On s’est réconcilié sur le "lit". On a promis de se revoir.
    
    - Mais je croyais que tu aimais...
    
    - Aimais quoi ?
    
    - Ben ce que l’on te faisait... te prendre" comme un pute" comme, tu dis.
    
    - Mais j’aime bien qu’on me prenne "comme une pute"...mais pas tout le temps. J’aime aussi de la douceur, de la tendresse...
    
    - Ah d’accord. Fallait dire.... et puis en plus, il est beau...
    
    - Parole d’expert ?
    
    - LOL !
    
    Alors, je lui donnai ce dont elle avait envie. Je restai en missionnaire pendant une petite demie-heure. Je fis durer le plaisir peut-être pour me prouver que je n’étais pas PD mais que la nuit n’avait été qu’un essai.... Parfois je me redressais pour lui lécher le bout des seins et je reprenais mon va-et-vient dans sa chatte, jusqu’à ce qu j’y éjacule, lentement.
    
    Puis, je rentrai chez moi et elle chez elle.
    
    - Tu es doux. J’aimerais refaire l’amour rien qu’avec toi de temps en temps;
    
    - OK... C’est tout ce que je trouvais à dire.
    
    Le lendemain soir, alors que j’étais en train de travailler, Florian sonna. Simon lui ouvrit.
    
    Florian ...
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