La mission
Datte: 08/01/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
chantage,
69,
pénétratio,
portrait,
Auteur: Jokari, Source: Revebebe
... nouveau conscience de tout.
Philippe se réveilla le premier. Il faisait grand jour, et en voyant Sarah à côté de lui avec son corps de rêve, il se demanda s’il n’était pas le jouet d’une hallucination : il n’aurait jamais espéré rencontrer une femme si belle et qui s’accordait si bien avec lui. Il ne parvenait pas à se rassasier de son corps. Il lui caressa doucement la chute des reins. Elle ouvrit les yeux et lui sourit. C’était la première fois qu’il la voyait sourire… Il lui rendit son sourire, ce qui illumina tout son visage.
— Bonjour, ma déesse ; bien dormi ?
— Bonjour, Philippe. Oui ; et toi, pas trop fatigué ?
— Non, d’ailleurs j’ai toujours envie de toi !
Elle rit :
— Encore ? Mais tu vas nous faire mourir !
— Peut-être, mais mourir de plaisir avec toi serait la plus belle chose qui pourrait m’arriver.
Il était allongé sur le dos, son sexe durci et dressé attestant ses propos. Cela ranima son désir et ce fut elle, cette fois, qui prit le condom et qui l’en revêtit. Elle l’enfourcha puis elle se souleva et redescendit dans un mouvement alternatif divin tandis que Philippe lui caressait les seins. L’excitation que lui procurait la stimulation des mains de Philippe abondait son plaisir. Elle jubilait en même temps de pouvoir contrôler le plaisir qu’elle-même donnait à Philippe en guettant ses réactions sur ses traits. Quand elle voyait qu’il était sur le point de se laisser aller à l’orgasme, elle ralentissait sa chevauchée, et quand elle croyait ...
... percevoir la frustration sur son visage, elle reprenait de plus belle. Cela dura jusqu’à ce qu’elle sentit qu’il n’en pouvait plus et qu’il approchait du paroxysme du plaisir. Il explosa une nouvelle fois en elle, et elle fut secouée du même orgasme que lui. Ils retombèrent sur le côté, dans les bras l’un de l’autre. Il lui caressa tendrement les cheveux pendant qu’elle le serrait dans ses bras.
— Tu es merveilleux, dit-elle.
— Toi aussi, personne ne m’a jamais rendu aussi heureux que tu le fais, merci ma déesse.
— Déesse ? Moi ? Tu exagères.
— Non : pour moi tu es idéale, tu es belle et intelligente, tu cumules les qualités, tu fais l’amour divinement, et en plus tu es tendre et douce : tu es ma déesse.
— Je ne suis pas sûre de mériter tout ça, mais c’est gentil en tout cas ; toi aussi tu m’as fait l’amour comme jamais on ne me l’a fait
— Eh bien je ne sais pas si tu vas le croire, mais ça ne m’était jamais arrivé de faire l’amour toute une nuit : c’est toi qui m’inspires. Je sais maintenant que nous sommes faits l’un pour l’autre.
Elle sourit, heureuse, et l’embrassa.
— Quelle heure est-il ? fit-elle brusquement, reprenant contact avec la réalité.
Il s’étira en arrière pour attraper sa montre.
— Neuf heures moins dix. Bon sang, comme le temps a passé vite !
— Mon Dieu ! Je n’aurais jamais cru qu’il était si tard ; il faut que je me sauve.
Elle rassembla ses vêtements et commença à s’habiller. Philippe la regarda, l’air inquiet :
— Sarah… euh… je ne ...