1. Les Souffles


    Datte: 08/01/2020, Catégories: fh, inconnu, forêt, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, coupfoudr, occasion, vacances, Auteur: Aenati, Source: Revebebe

    ... jouir et je ne me retins pas de la secouer, ma bite jouant les pilons dans sa baratte. Une fois, presque par inadvertance, un mouvement plus brusque qu’un autre m’éjecta de son fourreau et mon gland se retrouva écrasé contre sa rondelle. Elle coupa toute velléité de sodomie en me criant :
    
    — Non, pas par-là, t’es trop gros !
    
    Et elle me fit réinvestir prestement la voie humide, en ajoutant :
    
    — Un doigt, tu peux…
    
    Eh oui, en effet, je pouvais, et même si facilement que j’en mis un deuxième, ce qui la fit hurler et m’épancher contre sa matrice.
    
    Il était maintenant tard dans la nuit, presque deux heures du matin, et cette journée, qui avait pour moi commencé vingt-deux heures plus tôt, se rappelait à mon souvenir. Nous avons trouvé le temps de faire chacun une rapide toilette, j’ai disposé mon sac à viande sur des matelas de la chambre, puis Fabienne et moi nous sommes allongés sous mon duvet et des couvertures, dans la position de la cuillère. Elle avait juste passé sur ses épaules sa veste et moi remis mon tee-shirt, de telle sorte que mon sexe reposait dans le sillon de ses fesses. Le nez dans ses cheveux, ma main sous son sein, je m’endormis aussitôt.
    
    Le jour pointait à peine dehors lorsqu’elle me réveilla. Toujours dans la position où nous nous étions endormis, elle avait glissé entre ses cuisses ma pine qu’une érection nocturne avait remise en pleine forme et s’astiquait dessus, la faisant se promener dans le sillon de sa vulve, de l’orifice du vagin au ...
    ... clitoris. Ce manège devait durer depuis un bon moment, eu égard aux petits couinements qu’elle émettait qui révélaient son état d’excitation. Je ne lui montrai pas tout de suite que j’étais réveillé, mais lorsque je voulus, à l’instant où son vagin s’abutait contre mon gland, profiter de cette position pour la forcer, elle se retourna et me dit, la voix enrouée :
    
    — Non, attends, je veux que tu m’encules.
    
    Cette demande me surprit, elle, qui quelques courtes heures auparavant refusait cette pénétration, semblait maintenant l’appeler de ses vœux. Je ne dis rien et lui laissai prendre l’initiative. Elle quitta brièvement notre couche et revint avec un tube de lait après soleil qu’elle avait amené. S’agenouillant près de moi, elle entreprit d’en enduire généreusement ma bite, puis, m’enjambant en prenant soin de ne pas se cogner la tête aux planches constituant le sommier du lit du dessus, elle positionna son cul contre ma bite et, les mains sur mon torse, commença lentement à s’empaler sur mon vit.
    
    Dans un premier temps, rien ne se passa, son anneau ne semblait pas vouloir se prêter à cette intromission. Elle fit quelques mouvements du bassin et accentua sa pression sur ma bite que je maintenais en position. Lentement, je sentis l’anus de Fabienne céder sous sa volonté et s’ouvrir pour emprisonner mon sexe, la sensation était extraordinaire. Lorsque mon gland eut franchi la barrière, et que je ne craignis plus de le voir glisser ailleurs que dans ce cul, je lâchai ma bite ...
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