Les Souffles
Datte: 08/01/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
forêt,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
coupfoudr,
occasion,
vacances,
Auteur: Aenati, Source: Revebebe
... circonvenir cette perfection, et tandis que je mordillais maintenant le cou de ma compagne, je jouissais d’une randonnée sur des bosses enchanteresses…
Fabienne appréciait ces attentions, ses fesses entamaient contre mon pubis un mouvement qui finalisait l’état dans lequel ce qui précède m’avait mis, et s’enhardissant, elle glissa entre elle et moi sa main, qui n’avait jusque-là pas quitté ma cuisse, pour l’introduire dans mon short et venir y découvrir l’objet de son désir. Elle l’empauma fermement et entreprit de le branler légèrement, ce qui finit de lui donner sa dimension majeure. Je n’avais cessé de lui mordiller le cou tout en lui caressant les seins, je décidai de redescendre vers la source de toute vie. Devançant mon désir, Fabienne m’ouvrit le triangle de ses cuisses en posant un pied sur le rebord de la terrasse.
Je suivis le même chemin que tout à l’heure, et ne m’arrêtant pas cette fois-ci sur les courtes broussailles qui l’habillaient, je glissai ma main sur le fruit lisse et charnu dont mon majeur au passage vint cueillir un peu du nectar. Je m’attardai quelques instants sur ces lèvres muettes, les pressant pour en absorber la chaleur et commencer d’en extraire le jus. Je fis lâcher prise à Fabienne, tout en me promettant de lui laisser le plein usage plus tard de ce dont elle s’était emparée et, la faisant pivoter, je retrouvai sa bouche pour m’y désaltérer. Dans son mouvement, elle vint glisser sa jambe derrière la mienne, permettant à ma main de ...
... continuer ses caresses. Du majeur, je recueillais le doux liquide qui s’écoulait d’elle et venais avec adoucir les replis de son trésor, titillant au passage l’anneau de l’urètre et le léger renflement de son clitoris que je prenais soin d’éviter, pour redescendre ensuite au bord de sa grotte où mon doigt de moins en moins timide pénétrait à chaque fois plus avant.
Les mains glissées contre mes fesses, sa langue se liant à la mienne, Fabienne ouvrait bien haut le compas de ses cuisses en posant contre ma hanche le creux de son genou. De faibles gémissements saluaient avec régularité le passage réussi entre ses nymphes et j’eus bientôt une idée précise des points qui les déclenchaient. Les mouvements de son bassin s’accentuant, je me concentrai sur les quelques centimètres les plus sensibles, en faisant des allers-retours entre son urètre et le capuchon de son clitoris que je finis par mettre à nu : ce petit bouton tendrement pressé déclencha une série de plaintes et de tremblements chez ma partenaire qui prenait ainsi une avance sur mon plaisir. Je laissai passer la houle de son orgasme en lui mordillant les lèvres et en décrivant de petits cercles à l’entrée de son vagin.
Elle décida alors de prendre l’initiative et s’accroupit devant moi en tirant vers le sol mon short et mon boxer et, ayant ainsi libéré la barre de chair qu’elle avait solidifiée, y posa les lèvres avant de la saisir des deux mains. Un « oh » de surprise me fit comprendre qu’elle venait de prendre la mesure ...