Sous les blouses des collègues. (2)
Datte: 06/01/2020,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... peu éventée, du coup elle était presque visqueuse, mais j’ai l’impression que c’était encore plus agréable de se caresser dans ces conditions. Je n’ai pas eu besoin d’aller me glisser des doigts dans le vagin, mon clito était tellement désireux que je n’ai pas été bien longue à jouir en le titillant. J’ai juste eu besoin de fermer les yeux, pour me remémorer tout ce que je venais de vivre cet après-midi dans le vestiaire. Un petit quart d’heure et l’affaire était réglée et je me suis rapidement endormie, bien évidemment cette nuit-là, je n’ai pas cessé de rêver de Samantha et de tout le plaisir qu’elle m’avait donné. En gros à neuf heures et demie, je dormais, du coup le lendemain matin à six heures du matin j’avais une pêche du tonnerre. Il m’a fallu quelques instants pour me remémorer pourquoi mon oreiller sentait bon la petite fille négligée. Voilà quelques jours j’aurais été horrifié par de telles odeurs, mais voilà que maintenant elle avait un petit côté aphrodisiaque sur moi. Il n’y a pas à dire depuis que j’avais trouvé un boulot, quelque chose avait changé en moi, je pense que je ne regarderai plus du tout les femmes de la même façon.
Disons que jusqu’à maintenant les filles, je les regardais plus comme des concurrentes, maintenant je les verrai plus comme des proies ou partenaires potentielles. Le matin, je n’avais pas besoin de me lever beaucoup plus tôt par rapport à l’heure de ma prise de poste, car j’habitais juste à côté de mon boulot et surtout je ...
... mangeais des fruits en guise de petit-déj. Maintenant je veillais à arriver toujours beaucoup plus tôt au boulot, en sachant ce qui se passait dans les vestiaires. Quand je suis arrivée, presque toutes les collègues l’étaient déjà, nous nous sommes fait la bise, mais ce n’était plus les mêmes bises qu’avant. À chaque bise, j’avais la sensation qu’on était à deux doigts de se rouler une pelle, mes collègues avaient une tendance à se coller un peu plus à moi, tout comme je le faisais avec elles. De nombreuses barrières étaient tombées hier après-midi j’avais plus l’impression que nous étions entre maîtresses, entre amantes. Là où j’ai compris qu’il y avait quelque chose de vraiment changé c’est quand nous nous sommes retrouvées en blouse, Coralie qui était devant moi c’est immobilisé et c’est Samantha qui derrière s’est chargée de me débarrasser de ma petite culotte ; pour la première fois de ma vie j’allais bosser cul nu, foufoune à l’air.
Bien évidemment Samantha a porté la culotte à son nez, pour la sentir d’une façon provocante, avec un petit sourire tout aussi provocant, il ne m’en fallait pas plus pour m’exciter dès le matin.
« Ça sent l’abricot désireux.»
Voilà un commentaire bien cru de la part de Samantha. Finalement ce n’était pas désagréable que de travailler avec le berlingot à l’air, régulièrement les collègues trouvaient le moyen de m’effleurer, toujours de façon sensuelle. En les regardant de plus près, j’ai pu constater que ce n’était pas un privilège, elles ...