1. Sous les blouses des collègues. (2)


    Datte: 06/01/2020, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... minou avec une efficacité redoutable. Je ne savais pas si c’était en train de devenir insoutenable, ou j’allais prendre une deuxième fois mon pied. Finalement c’est la jouissance qui devenait trop intense, j’ai dû saisir la tête de Samantha pour l’inviter à quitter mon entrejambe pour le faire reposer. Tout ce que j’étais en train de vivre, au fond de moi je me disais que j’étais prête à remettre ça le plus souvent possible. Quand j’ai cessé d’exprimer mon plaisir bruyamment, j’ai commencé à réaliser ce que je venais de vivre. J’étais vidée, j’étais exténuée et mes collègues s’en sont rendu compte, elles sont venues me câliner.
    
    Jamais je n’aurais cru que des collègues puissent être aussi câlines entre elles, mais surtout aussi soudées. Nombre de mes partenaires masculins m’avaient déjà fait jouir en me pénétrant, mais jamais je n’avais joui aussi intensément. J’étais désormais convaincue que quand une femme jouit de cette façon, elle ne pourra que chercher à vivre ça de nouveau. En gros je pense que quand on goûte aux femmes une fois, on est condamnée à y retourner ; quand tout s’est bien passé. Il m’a fallu cinq bonnes minutes pour me remettre de ce que je venais de vivre, mes collègues étaient restées à mes côtés durant ce temps. Mes collègues présentes m’ont aidée à me rhabiller, bien évidemment, elles ne se sont pas privées de me faire des petites caresses indiscrètes en passant. Je me suis passé la tête sous l’eau pour ne pas paraître trop cadavérique, une fois ...
    ... toutes présentables nous avons quitté le vestiaire, pour chacune rentrer chez nous, je peux vous garantir que de mon côté, j’avais la tête ailleurs. N’ayant pas vraiment la tête à rentrer directement chez moi, je suis partie me promener dans les boutiques de la grande surface voisine.
    
    Quand j’ai fini par rentrer à la maison, j’ai fait la bise à mes parents comme d’habitude, et ils m’ont un peu trouvé bizarre, je leur ai expliqué que c’était dû à une journée exténuante ; quelque part ce n’était pas faux. Après le repas, je ne suis pas restée avec eux pour regarder le film, je suis partie me coucher, j’avais envie de me faire reluire la friandise, mais en même temps j’étais crevée. Au moment de me coucher, après une douche réparatrice, j’ai récupéré mon téléphone dans mon sac à main, c’est là que j’ai constaté que mes collègues m’avaient laissé leurs culottes poisseuses et odorantes. Sur le coup j’ai eu la panique de la vie, en espérant que ma mère ne les ait pas aperçues. Cela a été plus fort que moi, je n’ai pas pu me retenir de toutes les glisser dans ma taie d’oreiller pour que je m’endorme avec de bonnes odeurs. Vu l’état dans lequel j’étais, avant de m’endormir il a fallu que je me fasse un petit plaisir. Une fois dissimulée sous les draps, la lumière éteinte et l’oreiller à portée de narines, j’ai glissé ma main droite entre mes jambes. Compte tenu de la jouissance que j’avais vécue cet après-midi, mon entrejambe était toujours bien liquéfié.
    
    Ma cyprine s’était quelque ...
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