A la merci de mon beau-frère Ch. 09
Datte: 06/01/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... pitoyablement en sentant sa bite s'enfoncer encore un peu plus dans mes intestins dans le mouvement, je ne pensais pas que les choses puissent encore empirer.
J'ouvris alors les yeux et vis Yan qui se penchait sur moi, se branlant lentement.
Je me débattais de toutes mes forces, mais arrêtait immédiatement, mes mouvements provoquaient un empalement plus profond sur la bite qui m'enculait.
Yan ricana en se penchant en avant et enfonça sa grosse bite dans ma chatte détrempée.
Je ne m'étais jamais senti aussi distendue, des ondes de plaisir couraient dans mes lombes je grommelais une protestation, je combattais l'orgasme que je sentais monter dans mes reins, trop tard une puissante jouissance me terrassait.
Comme ils venaient tous deux de jouir, ils se montraient endurants.
Ils prenaient leur temps, alternant leurs poussées dans mes deux trous asservis, ou me ramonant simultanément à grands coups de boutoirs furieux.
Je rebondissais d'orgasme en orgasme quelle que soit leur façon de me prendre.
Je me tordais entre leurs deux corps, j'espérais dompter mon corps mais en vain, les vagues de plaisir succédaient aux vagues de plaisir.
Après un long moment, je sentis Richard se raidir, m'empoigner fermement les hanches tout en s'enfonçant au plus profond de mon intestin.
Il se tortilla et frissonna tout contre moi, puis il tomba à la renverse avec un soupir de contentement.
Yan suspendit un instant ses allées et venues le temps que je sentisse son ...
... foutre chaud inonder ma chatte repue.
Yan roula sur le flanc et se remit sur pieds en chancelant.
Il attrapa une des caméras et commença à filmer mon corps s'attardant sur chaque détail.
Richard l'aidait en me roulant sur le ventre pour écarter mes fesses pour qu'il puisse filmer mon trou du cul béant d'où suintaient des filets de foutre grumeleux.
Dès qu'ils en eurent fini avec moi, ils m'enlevèrent les menottes et sortirent de la chambre en me donnant une gentille tape sur les fesses.
Je me roulais en boule et gémis, jamais je n'avais été aussi humiliée, dégradée, j'avais mal, mon corps était meurtri en des endroits que je n'aurai jamais cru pouvoir l'être.
J'entendis Yan et Richard sortir, je me glissais dans la salle de bain pour prendre un bain bien chaud.
Je me disais qu'il ne me restait plus qu'une semaine à endurer ces épreuves, que bientôt ce cauchemar se terminerait.
Le soir même je fus abasourdie de voir Yan et Richard se porter volontaires pour préparer le thé, j'étais douillettement assise sur le sofa à coté de Jean, on se serait cru revenu au bon vieux temps.
On se relaxait tous ensemble et j'en aurai presque oublié ce qui s'était passé ce matin même.
Je me sentais heureuse et en paix lorsque Yan passa la tête par la porte et demanda où nous avions rangé la râpe.
Je tentais de lui expliquer clairement où elle se trouvait, mais visiblement Yan ne comprenait pas puisqu'il prenait la direction opposée.
A contrecœur je me levais du ...